Le feu qui s’est déclaré dans la forêt classée du mont Tonkpi depuis le dimanche 16 février 2020 continue de faire des dégâts. Malgré les interventions des populations riveraines en soutiens aux agents de la Société ivoirienne de télédiffusion, le feu peine à calmer ses ardeurs.
Ce jeudi 27 février 2020, il est 6 heures du matin, lorsque l’un des vigiles du centre en partance à son poste s’est vu empêché par le feu. Avec un décor de désolation. Des arbres qui ont chuté sur la piste. Des bambous de chine qui explosent comme des bombes, pour ensuite s’écraser sur la piste qui mène au centre émetteur. Empêchant toute circulation aussi bien à pied qu’en engin roulant. Il appelle le chef des Centres émetteurs ouest qui se rend lui-même sur les lieux pour faire un premier constat avant de faire appel au centre de secours d’urgence et à la Sodefor de Man. Aussitôt alerté, les sapeurs-pompiers civils de déploient sur les lieux pour tenter de maîtriser le feu qui devient de plus en plus violent.
La zone étant montagneuse, le gros camion incendie de 9000 litre ne peut y avoir accès. Il faut faire recours au pick-up qui a une petite capacité. Mais là encore, la tâche reste compliquée. Pour se rapprocher du feu et mener une quelconque action d’extinction, il faut y aller à pied. Ayant déjà pris la mesure de la situation, les sapeurs pompier y sont allés avec des seaux. Mais là encore, la difficulté persiste parce qu’il va falloir descendre dans des ravins de plus de 100 mètres de profondeurs ou escalader des hauteurs avec des seaux d’eau. Chose presqu’impossible.
Cependant les agents du centre de secours tentent tout de même cette périlleuse expérience pour tenter de sauver la forêt classée du mont Tonkpi et empêcher la progression du feu vers le principal centre émetteur de l’ouest. Un centre qui regroupe aussi bien les installations de la TNT (Télévision terrestre numérique), que celles de toutes les compagnies de téléphonie du pays et les deux chaines de la radio nationale.
« Ici nous sommes à 18 kilomètres de la ville et à 7 kilomètres du centre émetteur. Le feu continue sa progression dans la montagne. Pour l’heure il est impossible d’avoir accès au centre émetteur », précise le chef de service de l’IDT Ribou Zacharie.
Le feu n’épargne pas non plus les plantations voisines à la forêt classée du Mont Tonkpi qui a une superficie de 6150 kilomètres carrés. Cette forêt restée vierge malgré les affres de la crise connait en ce moment le pire incendie de son histoire.
Ce jeudi 27 février 2020, il est 6 heures du matin, lorsque l’un des vigiles du centre en partance à son poste s’est vu empêché par le feu. Avec un décor de désolation. Des arbres qui ont chuté sur la piste. Des bambous de chine qui explosent comme des bombes, pour ensuite s’écraser sur la piste qui mène au centre émetteur. Empêchant toute circulation aussi bien à pied qu’en engin roulant. Il appelle le chef des Centres émetteurs ouest qui se rend lui-même sur les lieux pour faire un premier constat avant de faire appel au centre de secours d’urgence et à la Sodefor de Man. Aussitôt alerté, les sapeurs-pompiers civils de déploient sur les lieux pour tenter de maîtriser le feu qui devient de plus en plus violent.
La zone étant montagneuse, le gros camion incendie de 9000 litre ne peut y avoir accès. Il faut faire recours au pick-up qui a une petite capacité. Mais là encore, la tâche reste compliquée. Pour se rapprocher du feu et mener une quelconque action d’extinction, il faut y aller à pied. Ayant déjà pris la mesure de la situation, les sapeurs pompier y sont allés avec des seaux. Mais là encore, la difficulté persiste parce qu’il va falloir descendre dans des ravins de plus de 100 mètres de profondeurs ou escalader des hauteurs avec des seaux d’eau. Chose presqu’impossible.
Cependant les agents du centre de secours tentent tout de même cette périlleuse expérience pour tenter de sauver la forêt classée du mont Tonkpi et empêcher la progression du feu vers le principal centre émetteur de l’ouest. Un centre qui regroupe aussi bien les installations de la TNT (Télévision terrestre numérique), que celles de toutes les compagnies de téléphonie du pays et les deux chaines de la radio nationale.
