Les acteurs du système éducatif formés sur le mécanisme des violences de genre.
Par Jean Olivier Dan / Du 23 au 25 mai 2017 à Nairobi au Kenya s’est tenu un atelier régional pour promouvoir les efforts visant à atteindre l’Éducation 2030 et les Objectifs de développement durable, en renforçant les capacités nationales et régionales en matière d’analyses fondées sur des données probantes, de planification et d’action en vue d’une éducation équitable et de qualité.
Cet atelier régional visait spécifiquement à partager et réfléchir sur les preuves et les enseignements tirés de la Phase 1 de l’initiative, en particulier de l’étude des quatre pays, renforcer les plans spécifiques aux pays pour la Phase 2 de l’initiative, par le biais d’évaluations par les pairs s’appuyant sur les dernières données, renforcer les capacités en matière de suivi et de recherche, élargir les partenariats et les activités de plaidoyer dans les deux régions pour mettre fin à la Violence de Genre en Milieu Scolaire.
Suite à la restitution des acquis de cette rencontre régionale par les participants de la Côte d’Ivoire, le Groupe de Travail sur la Protection de l’Enfant élargi aux points focaux des ministères et ONG techniques, a organisé un atelier pour finaliser la théorie du changement ébauchée à Nairobi et élaborer le plan d’actions de la phase 2 de l’Initiative Eliminer les Violences de Genre en Milieu Scolaire (EVGMS).
C’est pour rendre effectifs les acquis de cet atelier que du 6 jours durant, du lundi 05 au samedi 10 février, à Man, a eu lieu un séminaire de renforcement et d’encadrement des membres des Comités de protection des écoles primaires, des collèges et des lycées, ainsi que des Comités locaux et régionaux de protection en DREN et IEP.
Sous l’impulsion de l’Unicef et le ministère de l’éducation, cette formation a eu lieu en vue de les préparer à des actions promptes et efficaces dans le cadre de la lutte contre les violences de genre en milieu scolaire, (VGMS) notamment l’alerte précoce. En effet, face aux violences récurrentes qui minent l’éducation, les enfants sont pour la plus part exposés et violentés. Ces activités de renforcement et d’encadrement des acteurs du système ont été initiées en vue de prévenir ces violences et autres agressions des droits des enfants. Pour Guédé Biagné Joseph, Coordinateur national du programme éducation à l’Unicef cette activité vise à renforcer les mécanismes d’alerte précoce au sein des écoles, des collèges et lycées des DRENETFP de Man et d’Odienné pour la prévention et les réponses aux Violences de Genre en Milieu Scolaire.
Les enfants, à l’en croire, méritent de se sentir dans un environnement propice pour faciliter leur éducation à la maison et l’école en créant un cadre de communication régulier pour favoriser leur intégration. Pour le coordinateur national du programme éducation Unicef, cette formation est importante car elle permettra d’expliciter le concept de Violence de Genre en Milieu Scolaire pour les acteurs locaux et régionaux de la protection de l’enfant en milieu scolaire ; de renforcer les capacités des comités locaux et régionaux à la mise en œuvre des initiatives de prévention/réponse aux VGMS et à la notification des cas de VGMS identifiés ; de former les élèves à l’exercice du leadership et à l’auto-protection; d’asseoir des mécanismes efficaces d’alerte précoce pour la lutte contre les VGMS. Durant ces 6 jours les participants ont été formés sur l’identification de moyens d’auto-protection des élèves ; le feedback des résultats obtenus par le GTPE et les solutions qui ont été trouvés aux cas référés ; l’identification des goulots d’étranglement à l’action des comités de protection notamment des enseignantes protectrices. Toutefois, il a appelé les acteurs du secteur ont été appelé à permettre aux enfants de se sentir dans un cadre de bien-être. Aux parents, Guede Biagne a insisté sur la nécessité d’envoyer les enfants à l’école pour leur épanouissement.
Par Jean Olivier Dan / Du 23 au 25 mai 2017 à Nairobi au Kenya s’est tenu un atelier régional pour promouvoir les efforts visant à atteindre l’Éducation 2030 et les Objectifs de développement durable, en renforçant les capacités nationales et régionales en matière d’analyses fondées sur des données probantes, de planification et d’action en vue d’une éducation équitable et de qualité.
Les enfants, à l’en croire, méritent de se sentir dans un environnement propice pour faciliter leur éducation à la maison et l’école en créant un cadre de communication régulier pour favoriser leur intégration. Pour le coordinateur national du programme éducation Unicef, cette formation est importante car elle permettra d’expliciter le concept de Violence de Genre en Milieu Scolaire pour les acteurs locaux et régionaux de la protection de l’enfant en milieu scolaire ; de renforcer les capacités des comités locaux et régionaux à la mise en œuvre des initiatives de prévention/réponse aux VGMS et à la notification des cas de VGMS identifiés ; de former les élèves à l’exercice du leadership et à l’auto-protection; d’asseoir des mécanismes efficaces d’alerte précoce pour la lutte contre les VGMS. Durant ces 6 jours les participants ont été formés sur l’identification de moyens d’auto-protection des élèves ; le feedback des résultats obtenus par le GTPE et les solutions qui ont été trouvés aux cas référés ; l’identification des goulots d’étranglement à l’action des comités de protection notamment des enseignantes protectrices. Toutefois, il a appelé les acteurs du secteur ont été appelé à permettre aux enfants de se sentir dans un cadre de bien-être. Aux parents, Guede Biagne a insisté sur la nécessité d’envoyer les enfants à l’école pour leur épanouissement.
