Les acteurs de l’aquaculture de la région du Tonkpi sont désormais outillés pour atteindre leurs objectifs en matière de production de poissons pour assurer une bonne sécurité alimentaire aux populations de l’ouest montagneux. Après avoir engagé la réhabilitation des étangs piscicoles, l’organisation des nations unis pour l’alimentation a procédé ce mercredi 24 à la remise de 5 tricycles pour faciliter le transport des aliments des et l’écoulement de leur production vers les marchés. C’était en présence du ministre de la production animale et des ressources halieutiques, Sidi Touré.
Le représentant résident de l’Organisation des nations unis pour l’alimentation, (FAO) dans le cadre d’une visite de terrain pour s’enquérir de l’état de l’exécutions du projet de relance de l’aquaculture à l’ouest a procédé ce mercredi à la remise de 5 tricycles aux aviculteurs de la région. « Les bénéficiaires nous ont vraiment fait plaisir en nous montrant à quel point en une année, ils ont atteint une autonomie financière. Ils exportent, ils ont des bénéfices, ils gèrent des bénéfices. Et donc on les remercie aujourd’hui avec le ministre en leur fournissant des tricycles pour leur permettre justement d’écouler leurs produits sur le marché et d’augmenter leurs revenus », a indiqué Samy Gaiji.
Selon lui, il sera question de discuter avec le ministre Sidi Touré sur les nouveaux investissements que l’agence des nations unis voudrait faire sur le renforcement de la pisciculture et l’aquaculture.
Pour sa part le ministre de la production animale et des ressources halieutiques a assuré les pisciculteurs de ce que son département ministériel entend accompagner les acteurs de l’aquaculture dans le développement de leurs activités à travers des initiatives pour pouvoir subvenir à leurs besoins et leur garantir une autonomie financière. En plus il a encouragé les jeunes à s’engager dans ce secteur d’emploi qui est pourvoyeur de richesse « Nos poissons d’ici ont meilleurs goût, nos poissons en plus des valeurs nutritives nous permettent de grandir dans de meilleures conditions. Je vous encourage à consommer local, à consommer nos poissons faits localement ici, j’encourage les jeunes à s’investir, on va vous accompagner, le gouvernement va vous accompagner, et le président Alassane Ouattara va vous accompagner », a assuré le ministre de la production animale et des ressources halieutiques.
Les bénéficiaires par la voix de leur porte-parole Gueu Makalo Bertine ont traduit les remerciements des bénéficiaires à l’endroit de la FAO car dit-elle, « depuis plus d’un an, la FAO nous aide à reprendre la pisciculture dans notre région. Aujourd’hui nous pouvons vendre des poissons de 500 grammes en 5 ou 6 mois. Ce qui n’est jamais arrivé dans cette région. Grâce à l’appui de la FAO, nous gagnons de l’argent à travers la pisciculture. Nous voulons dire merci à la FAO qui est à nos côtés. Merci pour les tricycles qui vont nous servir dans la livraison des aliments et des alevins».
Elle a tout de même révélé quelques difficultés dont le coût très élevé des aliments pour les poissons, d’où son plaidoyer auprès du ministre Sidi Touré en vue d’obtenir des aliments à moindre coût.
La délégation de la FAO et du ministère de la production animale et des ressources halieutiques se sont par la suite rendus au ranch de Sipilou pour s’imprégner du potentiel de la région sur l’élevage et comprendre les défis qui sont sur place et redynamiser ce ranche pour qu’en Côte d’Ivoire on produise local. Et cela est dans les thématiques de la FAO. « Il s’agit entre autres de la souveraineté alimentaire, de la sécurité alimentaire, mais surtout du développement économique de la région du Tonkpi qui a un potentiel énorme. Il est question d’appeler les partenaires techniques et financiers mais aussi des investisseurs privés pour leur dire qu’il y a des opportunités économiques à développer les filières d’aquaculture et de l’élevage ici en Côte d’Ivoire », a précisé le représentant résident de la FAO. Il a annoncé d’autres investissements de son agence au bénéfice de la région parmi lesquels, la production des aliments pour les volailles pour les ports et le tilapia. Pour dynamiser tout le secteur à travers des solutions locales.
Le représentant résident de l’Organisation des nations unis pour l’alimentation, (FAO) dans le cadre d’une visite de terrain pour s’enquérir de l’état de l’exécutions du projet de relance de l’aquaculture à l’ouest a procédé ce mercredi à la remise de 5 tricycles aux aviculteurs de la région. « Les bénéficiaires nous ont vraiment fait plaisir en nous montrant à quel point en une année, ils ont atteint une autonomie financière. Ils exportent, ils ont des bénéfices, ils gèrent des bénéfices. Et donc on les remercie aujourd’hui avec le ministre en leur fournissant des tricycles pour leur permettre justement d’écouler leurs produits sur le marché et d’augmenter leurs revenus », a indiqué Samy Gaiji.
Pour sa part le ministre de la production animale et des ressources halieutiques a assuré les pisciculteurs de ce que son département ministériel entend accompagner les acteurs de l’aquaculture dans le développement de leurs activités à travers des initiatives pour pouvoir subvenir à leurs besoins et leur garantir une autonomie financière. En plus il a encouragé les jeunes à s’engager dans ce secteur d’emploi qui est pourvoyeur de richesse « Nos poissons d’ici ont meilleurs goût, nos poissons en plus des valeurs nutritives nous permettent de grandir dans de meilleures conditions. Je vous encourage à consommer local, à consommer nos poissons faits localement ici, j’encourage les jeunes à s’investir, on va vous accompagner, le gouvernement va vous accompagner, et le président Alassane Ouattara va vous accompagner », a assuré le ministre de la production animale et des ressources halieutiques.
Les bénéficiaires par la voix de leur porte-parole Gueu Makalo Bertine ont traduit les remerciements des bénéficiaires à l’endroit de la FAO car dit-elle, « depuis plus d’un an, la FAO nous aide à reprendre la pisciculture dans notre région. Aujourd’hui nous pouvons vendre des poissons de 500 grammes en 5 ou 6 mois. Ce qui n’est jamais arrivé dans cette région. Grâce à l’appui de la FAO, nous gagnons de l’argent à travers la pisciculture. Nous voulons dire merci à la FAO qui est à nos côtés. Merci pour les tricycles qui vont nous servir dans la livraison des aliments et des alevins».
La délégation de la FAO et du ministère de la production animale et des ressources halieutiques se sont par la suite rendus au ranch de Sipilou pour s’imprégner du potentiel de la région sur l’élevage et comprendre les défis qui sont sur place et redynamiser ce ranche pour qu’en Côte d’Ivoire on produise local. Et cela est dans les thématiques de la FAO. « Il s’agit entre autres de la souveraineté alimentaire, de la sécurité alimentaire, mais surtout du développement économique de la région du Tonkpi qui a un potentiel énorme. Il est question d’appeler les partenaires techniques et financiers mais aussi des investisseurs privés pour leur dire qu’il y a des opportunités économiques à développer les filières d’aquaculture et de l’élevage ici en Côte d’Ivoire », a précisé le représentant résident de la FAO. Il a annoncé d’autres investissements de son agence au bénéfice de la région parmi lesquels, la production des aliments pour les volailles pour les ports et le tilapia. Pour dynamiser tout le secteur à travers des solutions locales.
