Le président de la fédération internationale de Maracana et association Bleu Charlemagne était de la délégation du ministre Albert Toikeusse Mabri pour ramener le calme à Kabakouma. Il a pris la parole pour partager le deuil qui frappe le village. Il en a profité pour offrir des ballons de marakana aux jeunes pour qu’ils puissent faire la paix autour du sport.
« A vous jeunesse de Kabakouma, à vous les jeunes du département de Biankouma, je voudrais vous dire que la fédération internationale de Maracana et association par ma voix s’associe au deuil qui vous frappe. Surtout aux atrocités qui nous frappent. Parce qu’il n’y a pas eu que des morts, mais des blessés graves qui sont évacués à Abidjan par les soins du chef de l’Etat. Je voudrais vous dire que ce n’est pas dans la vengeance que nous allons résoudre cette affaire. Ça fait très mal. Mais au-delà de ce qui s’est passé, on ne doit pas rester le théâtre. Il faut sincèrement pardonner », a indiqué le commissaire divisionnaire Bleu Charlemagne. Il a exhorté les jeunes et la chefferie traditionnelle à accepter le pardon que prône le ministre Mabri au nom du gouvernement.
Pour renforcer la cohésion sociale et la paix, le porte-parole de la police nationale a offert des ballons de Marakana aux jeunes de toutes les communautés de Kabakouma et Biankouma, les invitant à aller jouer pour faire la paix entre eux.
« A vous jeunesse de Kabakouma, à vous les jeunes du département de Biankouma, je voudrais vous dire que la fédération internationale de Maracana et association par ma voix s’associe au deuil qui vous frappe. Surtout aux atrocités qui nous frappent. Parce qu’il n’y a pas eu que des morts, mais des blessés graves qui sont évacués à Abidjan par les soins du chef de l’Etat. Je voudrais vous dire que ce n’est pas dans la vengeance que nous allons résoudre cette affaire. Ça fait très mal. Mais au-delà de ce qui s’est passé, on ne doit pas rester le théâtre. Il faut sincèrement pardonner », a indiqué le commissaire divisionnaire Bleu Charlemagne. Il a exhorté les jeunes et la chefferie traditionnelle à accepter le pardon que prône le ministre Mabri au nom du gouvernement.
Pour renforcer la cohésion sociale et la paix, le porte-parole de la police nationale a offert des ballons de Marakana aux jeunes de toutes les communautés de Kabakouma et Biankouma, les invitant à aller jouer pour faire la paix entre eux.
