Le Commandant du Bataillon de Sécurisation de l’Ouest BSO, le Colonel SORO Dramane poursuit sa tournée sur les frontières ouest dont il a la sécurité en charge. A cet effet, il s’est rendu ce mardi dans les différents postes frontaliers de Sipilou pour s’enquérir de la mise en application de la mesure portant fermeture des frontières et transmettre les remerciements du chef d’Etat-major de l’armée de terre aux forces surplace.
C’est un Colonel visiblement satisfait du constat de la fermeture hermétique des frontières avec la présence des différentes forces et des agents de l’Institut National de l’Hygiène Publique (INHP). <<Nous sommes venus dans un premier temps, vous transmettre les encouragements et les remerciements du chef d’Etat-major de l’armée de terre. Et voir aussi si les mesures gouvernementales en général et en particulier celle portant fermeture des frontières est appliquée. Nos hommes nous ont rassuré, aucune personne n’entre ni ne sort du territoire ivoirien. Seul les camions de marchandises dont le chauffeurs, l’apprenti et le convoyeur sont obligés à se laver les mains conformément aux exigences en vigueur et de se soumettre au contrôle des agents sanitaires. Nous sommes satisfaits et nous demandons à nos hommes de redoubler d’ardeur>>, indique le chef de corps du Bataillon de Sécurisation de l’Ouest.
Conscient de l’ingéniosité des réfractaires à emprunter des voies détournées pour rentrer ou sortir du territoire, le Col Soro Dramane, est sans équivoque. Ses hommes ont changé aussi de stratégie. <<Pour ce qui concerne les voie de contournement, nous sommes des hommes de terrain. Nous changeons aussi nos tactiques pour contrer les éventuels candidats à ce jeu de contournement de nos dispositifs aux postes. Toutes les pistes susceptibles d’être un passage de clandestins sont barrées par nos hommes. De Ouaninou, à Zouan-Hounien en passant par Sipilou, Biankouma et Danané, aucune piste n’est exploitable par des voyageurs clandestins. Quand nos hommes les croisent, c’est sans état d’âme qu’ils les ordonnent de retourner soit en Guinée ou en Côte d’Ivoire>>, rassure le Colonel Soro Dramane.
Après avoir visité les deux postes frontaliers du département de Sipilou, le Colonel Soro Dramane, s’est rendu à l’hôpital général, où il a offert un dispositif de lavage de mains, des bidons de savons liquides et une combinaison pour le prélèvement d’un éventuel cas suspect. Un geste salué par Dr Diéket-Aby Christophe, médecin-chef de l’hôpital général de Sipilou.
C’est un Colonel visiblement satisfait du constat de la fermeture hermétique des frontières avec la présence des différentes forces et des agents de l’Institut National de l’Hygiène Publique (INHP). <<Nous sommes venus dans un premier temps, vous transmettre les encouragements et les remerciements du chef d’Etat-major de l’armée de terre. Et voir aussi si les mesures gouvernementales en général et en particulier celle portant fermeture des frontières est appliquée. Nos hommes nous ont rassuré, aucune personne n’entre ni ne sort du territoire ivoirien. Seul les camions de marchandises dont le chauffeurs, l’apprenti et le convoyeur sont obligés à se laver les mains conformément aux exigences en vigueur et de se soumettre au contrôle des agents sanitaires. Nous sommes satisfaits et nous demandons à nos hommes de redoubler d’ardeur>>, indique le chef de corps du Bataillon de Sécurisation de l’Ouest.
Conscient de l’ingéniosité des réfractaires à emprunter des voies détournées pour rentrer ou sortir du territoire, le Col Soro Dramane, est sans équivoque. Ses hommes ont changé aussi de stratégie. <<Pour ce qui concerne les voie de contournement, nous sommes des hommes de terrain. Nous changeons aussi nos tactiques pour contrer les éventuels candidats à ce jeu de contournement de nos dispositifs aux postes. Toutes les pistes susceptibles d’être un passage de clandestins sont barrées par nos hommes. De Ouaninou, à Zouan-Hounien en passant par Sipilou, Biankouma et Danané, aucune piste n’est exploitable par des voyageurs clandestins. Quand nos hommes les croisent, c’est sans état d’âme qu’ils les ordonnent de retourner soit en Guinée ou en Côte d’Ivoire>>, rassure le Colonel Soro Dramane.
