Les fonctionnaires de la police nationale exerçant dans la zone frontalière ouest sont en formation à la préfecture de Man les 16 et 17 septembre 2019. Une initiative de l’Office internationale de la migration OIM, avec l’appui financier du gouvernement Japonais, en partenariat avec le ministère de la sécurité et de la protection civile.
Selon Carine Bonduelle, «l’objectif de cette formation est de renforcer les capacités théoriques et techniques des policiers, surtout ceux qui sont affectés aux postes de frontière ».
Il s’agit durant deux jours de formation de renforcer les capacités des forces de police en gestion des frontières, permettre aux élèves policiers et policiers déjà en service d’acquérir des connaissances de base sur la gestion des frontières. De développer des procédés d’entretien, superviser la pratique des agents aux frontières dans l’exercice de leur travail quotidien, et enfin adresser aux agents de police des frontières des observations, des recommandations et des conseils de bonne gestion des frontières.
Le secrétaire général 1 de la préfecture Gouassiro Ernest Mathieu a indiqué aux participants que la question de la gestion des frontières notamment les migrations, suscite aujourd’hui un certain nombre de questionnement en matière de sécurité et de relations diplomatiques entre les différents Etats. «Les policiers qui sont en charge de la gestion des frontières sont au cœur de toute cette thématique. Il vous appartient donc d’agir selon les textes et en même temps faire preuve d’humanisme face à ceux que vous rencontrez dans l’exercice de vos fonctions. Vous devez adopter un comportement conforme à l’image que notre pays se donne au niveau international, c’est-à-dire un pays hospitalier où les droits de l’homme sont bien respectés, où l’être humain est respecté », a conseillé le représentant du préfet de la région Tonkpi. L’administrateur civil a émis le vœu de voir intégrés les modules de ce séminaire dans le programme de formation initial des forces de police. Car dit-il, « tout policier est emmené à exercer un jour à la frontière ».
Les participants au nombre de 25 sont des officiers et sous-officiers de la police nationale venus des postes frontaliers de Gbagpleu, Sipilou, des commissariats de police de Man, Danané, Biankouma et la préfecture de police de Man. Outre la région du Tonkpi, une formation similaire a eu lieu les vendredi 13 et samedi 14 septembre 2019 à Odiéné. Après Man, le cap sera mis sur Abengourou et Bouna.
Selon Carine Bonduelle, «l’objectif de cette formation est de renforcer les capacités théoriques et techniques des policiers, surtout ceux qui sont affectés aux postes de frontière ».
Le secrétaire général 1 de la préfecture Gouassiro Ernest Mathieu a indiqué aux participants que la question de la gestion des frontières notamment les migrations, suscite aujourd’hui un certain nombre de questionnement en matière de sécurité et de relations diplomatiques entre les différents Etats. «Les policiers qui sont en charge de la gestion des frontières sont au cœur de toute cette thématique. Il vous appartient donc d’agir selon les textes et en même temps faire preuve d’humanisme face à ceux que vous rencontrez dans l’exercice de vos fonctions. Vous devez adopter un comportement conforme à l’image que notre pays se donne au niveau international, c’est-à-dire un pays hospitalier où les droits de l’homme sont bien respectés, où l’être humain est respecté », a conseillé le représentant du préfet de la région Tonkpi. L’administrateur civil a émis le vœu de voir intégrés les modules de ce séminaire dans le programme de formation initial des forces de police. Car dit-il, « tout policier est emmené à exercer un jour à la frontière ».
Les participants au nombre de 25 sont des officiers et sous-officiers de la police nationale venus des postes frontaliers de Gbagpleu, Sipilou, des commissariats de police de Man, Danané, Biankouma et la préfecture de police de Man. Outre la région du Tonkpi, une formation similaire a eu lieu les vendredi 13 et samedi 14 septembre 2019 à Odiéné. Après Man, le cap sera mis sur Abengourou et Bouna.
