Par Kindo Ousseny / L‘institut Belge Verbatims a initié un atelier de formation des leaders d’opinion de la zone ouest dans un hôtel de la ville de Man les 6, 7 et 8 février 2018.
Les participants sont issus de la société civile, de l’administration, des associations de jeunesses et des medias. Selon le Chargé de programme, Jean Bosson, cette formation rentre dans le cadre du « Projet d’appui à la consolidation de la paix et à la réorientation des jeunes vulnérables vers des solutions durables, par la prévention et la gestion des conflits identitaires ». « Nous nous retrouvons début février 2018, donc deux ans plus tard pour faire le point ensemble et nous remobiliser pour poursuivre la construction d’une cohésion sociale durable, à travers la prévention, la gestion des conflits à base communautaire et l’appui aux jeunes vulnérables », a indiqué le représentant de Verbatims à la cérémonie d’ouverture. A travers ce projet, Il s’agira d’après lui de sélectionner 120 leaders d’opinion de zone dans les régions du Guémon, Cavally et Tonkpi, de constituer un réseau de leaders d’opinion qui avec l’appui de l’institut Verbatims, organisera et animera 80 sessions de dialogue avec des jeunes vulnérables pour les réorienter vers des solutions durable avec l’appui d’autres partenaires institutionnels. Une initiative saluée par le représentant du préfet de région du Tonkpi, préfet du département de Man, N’Zi Donatien, Sous-préfet de Bogouiné.
Pour lui ce thème qui réunit les participants traite des nouveaux défis de la cohésion sociale. « Sans cohésion nous ne pouvons pas avoir la paix et sans la paix nous ne pouvons pas avoir de développement donc de bien être des communautés et des populations. L’état même engage sa responsabilité quant à sa condition d’existence lorsqu’il n’y a pas de cohésion et de paix. C’est à juste titre que nous nous réjouissons d’être parmi vous ce matin », a indiqué le représentant du préfet de région. N’Zi Donatien a félicité les initiateurs de l’atelier qui selon lui rencontre l’adhésion du préfet de région du Tonkpi, préfet du département de Man. Le projet bénéficie d’un appui financier l’Unicef son représentant Ouattara Gervais, chef du bureau Unicef à Man s’est d’ailleurs réjouit de la reprise du « Projet d’appui à la consolidation de la paix et à la réorientation des jeunes vulnérables vers des solutions durables, par la prévention et la gestion des conflits identitaires ». Pour lui, cela permettra aux leaders d’opinion de prendre la juste mesure des enjeux de la cohésion sociale.
Pour lui il est important que les communautés prennent conscience et sache réagir afin d’apporter à la jeunesse l’éducation et l’encadrement qui leur permettrons de retrouver leurs repères dans la société. Ouattara Gervais a réaffirmé l’engagement de l’Unicef à accompagner le gouvernement ivoirien et ses partenaires dans leurs actions pour la création d’un environnement sain, pacifique et protecteur pour chaque citoyen.
Les participants sont issus de la société civile, de l’administration, des associations de jeunesses et des medias. Selon le Chargé de programme, Jean Bosson, cette formation rentre dans le cadre du « Projet d’appui à la consolidation de la paix et à la réorientation des jeunes vulnérables vers des solutions durables, par la prévention et la gestion des conflits identitaires ». « Nous nous retrouvons début février 2018, donc deux ans plus tard pour faire le point ensemble et nous remobiliser pour poursuivre la construction d’une cohésion sociale durable, à travers la prévention, la gestion des conflits à base communautaire et l’appui aux jeunes vulnérables », a indiqué le représentant de Verbatims à la cérémonie d’ouverture. A travers ce projet, Il s’agira d’après lui de sélectionner 120 leaders d’opinion de zone dans les régions du Guémon, Cavally et Tonkpi, de constituer un réseau de leaders d’opinion qui avec l’appui de l’institut Verbatims, organisera et animera 80 sessions de dialogue avec des jeunes vulnérables pour les réorienter vers des solutions durable avec l’appui d’autres partenaires institutionnels. Une initiative saluée par le représentant du préfet de région du Tonkpi, préfet du département de Man, N’Zi Donatien, Sous-préfet de Bogouiné.
Pour lui ce thème qui réunit les participants traite des nouveaux défis de la cohésion sociale. « Sans cohésion nous ne pouvons pas avoir la paix et sans la paix nous ne pouvons pas avoir de développement donc de bien être des communautés et des populations. L’état même engage sa responsabilité quant à sa condition d’existence lorsqu’il n’y a pas de cohésion et de paix. C’est à juste titre que nous nous réjouissons d’être parmi vous ce matin », a indiqué le représentant du préfet de région. N’Zi Donatien a félicité les initiateurs de l’atelier qui selon lui rencontre l’adhésion du préfet de région du Tonkpi, préfet du département de Man. Le projet bénéficie d’un appui financier l’Unicef son représentant Ouattara Gervais, chef du bureau Unicef à Man s’est d’ailleurs réjouit de la reprise du « Projet d’appui à la consolidation de la paix et à la réorientation des jeunes vulnérables vers des solutions durables, par la prévention et la gestion des conflits identitaires ». Pour lui, cela permettra aux leaders d’opinion de prendre la juste mesure des enjeux de la cohésion sociale.
Pour lui il est important que les communautés prennent conscience et sache réagir afin d’apporter à la jeunesse l’éducation et l’encadrement qui leur permettrons de retrouver leurs repères dans la société. Ouattara Gervais a réaffirmé l’engagement de l’Unicef à accompagner le gouvernement ivoirien et ses partenaires dans leurs actions pour la création d’un environnement sain, pacifique et protecteur pour chaque citoyen.
