Après deux années d’arrêt, le concours de beauté Awoulaba reprend ses droits.
Depuis plusieurs jours le comité régional présidé par le journaliste Doumbia Balla Moïse est à la tâche pour offrir une édition flamboyante à la population du Tonkpi, en général, et mannoise, en particulier:”Pour des raisons de convenance personnelle nous avons du arrêter. Après deux années sabbatiques nous nous sommes dit que la région ne pouvait rester en marge de ce concours qui magnifie la beauté africaine. Aussi sur insistance de certaines jeunes dames intéressées par ce concours nous avons estimé qu’il ne fallait pas leur faire du tort”, justifie le confrère.
Selon lui, la feuille de route qui leur a été assigné par le comité national est de procéder à des mini-présélections dans les cinq départements du Tonkpi:” Le trio gagnant de chaque département est retenu pour la finale régionale. Mais compte tenu du timing, on ne pourra pas le faire. Néanmoins nous serons à Touba qui est une région voisine, courant février, pour une mini-présélection“, fait il savoir.
Cependant, à en croire, Doumbia Balla Moïse, l’heure est à l’enrôlement des candidates:” Nous sommes à la phase des inscriptions.Beaucoup de candidates des éditions précédentes se signalent. Sur ce plan, nous pensons pouvoir réunir les 12 candidates recherchées. Seulement nous avons besoin du soutien moral, matériel et financier des autorités locales pour réussir ce pari“, précise t il.
La finale régionale, selon le président du comité régional
Depuis plusieurs jours le comité régional présidé par le journaliste Doumbia Balla Moïse est à la tâche pour offrir une édition flamboyante à la population du Tonkpi, en général, et mannoise, en particulier:”Pour des raisons de convenance personnelle nous avons du arrêter. Après deux années sabbatiques nous nous sommes dit que la région ne pouvait rester en marge de ce concours qui magnifie la beauté africaine. Aussi sur insistance de certaines jeunes dames intéressées par ce concours nous avons estimé qu’il ne fallait pas leur faire du tort”, justifie le confrère.
