Le 14 janvier 2018 a eu lieu à Guianlé dans la commune de Man, le lancement officiel des travaux de construction de trois ouvrages dont un Marché de gros et deux unités de transformation de manioc et de riz dans les régions du Tonkpi et du Guémon. Une initiative de la Fenacovici (Fédération nationale des coopératives du vivrier de Côte d’Ivoire). Une idée de la présidente Irié Lou Colette mise en œuvre par Baba Mady Camara. Mais qui est l’homme.
Natif de Man, Baba Mady Camara est titulaire d’un diplôme d’ingénieur des ponts et chaussées obtenu à l’Ecole nationale des Ingénieurs du Mali. Très vite, il s’est envolé pour le Gabon où il a exercé dans le secteur des travaux publics et du bâtiment pendant 10 ans auprès de la compagnie Bouygues en qualité de fonctionnaire international.
Son amour pour sa ville natale l’attire de nouveau au pays en Côte d’Ivoire pour créer sa propre entreprise dans sa spécialité qui est le bâtiment et les travaux publics (ENSBTP) Entreprise Nord Sud Bâtiment Travaux Publics) basée à Man au quartier Sari avec une succursale à Abidjan.
C’est ainsi qu’en 2013, il fera la connaissance de la Présidente nationale de la Fenacovici Irié Lou Colette. Cette dernière partage avec lui l’idée de construction d’un marché de gros et des unités de transformation de manioc et de riz. Une idée qu’il adopte pour la transformer en œuvre concrète. « J’ai placé toute ma confiance en madame Irié Lou Colette parce qu’elle est le prototype de la femme ambitieuses, courageuse, la femme battante qui tout comme moi est très persévérante », fait-il remarquer.
L’homme a placé toute sa foi en cette ambition de la championne du vivrier en Côte d’Ivoire. Et avec elle, ils ont travaillé à transformer ce qui au départ était une simple idée en projet structurant.
Ainsi, le 14 Janvier 2018, sous le parrainage du premier ministre de Côte d’Ivoire, Amadou Gon Coulibaly représenté par Soro Kayaha Jérôme, Préfet de la région du Tonkpi, Préfet du département de Man, Irié Lou Colette a donné le ton de la mise de œuvre de ses projets qui vont bientôt changer la vie des producteurs de manioc et de riz ainsi qu’une frange de la jeunesse des régions du Tonkpi et du Guémon. Il s’agit de pause de la première pierre travaux de construction de la plate formes, qui est le marché de gros des vivriers a Guianlé, la construction de l’unité ( usine ) de transformation de Manioc à Tontigouiné dans la sous-préfecture de Logoualé et la construction de l’unité ( usine ) de transformation de riz a Guezon Binao dans la région du Guémon.
Ces trois ouvrages dont les travaux connaitront un coup d’accélérateur dans ce premier trimestre de l’an 2019 rentrent dans le cadre du projet PAPV-SA dont l’objectif est de promouvoir l’autosuffisance alimentaire et éradiquer la sous-alimentation. En plus de booster la production du manioc et du riz dans la région, ces projets vont faciliter la création de richesse, par l’offre de plus d’un millier d’emploi direct. Le maître d’œuvre se donne un délai deux ans pour livrer les trois ouvrages conformément à la recommandation de la présidente de la Fenacovici. « Nous avons presque fini les travaux de terrassement et l’architecte arrive dès la première semaine du mois de mars 2019 pour la construction proprement dite », assure-t-il.
Baba Mady Camara est un opérateur économique qui se veut un modèle de travailleur dynamique et persévèrent. L’homme a, à son actif les travaux de reprofilage lourd des plusieurs pistes dont « l’axe Odiéné Boundiali ; La construction du commissariat de police de Kouibly, la construction l’agence de la Bceao de Man, la construction de tous les camps militaires de l’ouest ivoirien et plusieurs autres chantiers d’envergure ».
Son ambition, c’est de collaborer très bientôt avec la mairie de Man et le conseil régional du Tonkpi dans le cadre des travaux de reprofilage des routes et l’électrification rural. Une manière pour lui d’apporter sa modeste contribution au développement de cette région qui a bercé sa petite enfance. C’est pourquoi, il appelle les jeunes de la région au travail et à la patience.
« Je demande aux jeunes d’abonner la délinquance et de serrer la ceinture parce que le meilleur reste à venir. Ce projet offrira de milliers d’emplois direct et indirect aussi bien aux jeunes qualifiés que ceux qui ne le sont pas », conseille-t-il. Aux femmes, il les exhorte à ressembler à madame Irié Lou Colette, en étant des femmes battance pour faire avancer la Côte d’Ivoire.
Comme centre d’intérêt, Baba Mady Camara aime bien s’amuser après le travail, les sorties détentes et autres virées touristiques dans la nature. Cependant il déteste tout ce qui est faux. « Je n’aime pas le mensonge, les délations, l’hypocrisie et tous ceux qui font le faux, je n’aime pas composer avec quelqu’un qui est faux», fait-il savoir.
Natif de Man, Baba Mady Camara est titulaire d’un diplôme d’ingénieur des ponts et chaussées obtenu à l’Ecole nationale des Ingénieurs du Mali. Très vite, il s’est envolé pour le Gabon où il a exercé dans le secteur des travaux publics et du bâtiment pendant 10 ans auprès de la compagnie Bouygues en qualité de fonctionnaire international.
Ces trois ouvrages dont les travaux connaitront un coup d’accélérateur dans ce premier trimestre de l’an 2019 rentrent dans le cadre du projet PAPV-SA dont l’objectif est de promouvoir l’autosuffisance alimentaire et éradiquer la sous-alimentation. En plus de booster la production du manioc et du riz dans la région, ces projets vont faciliter la création de richesse, par l’offre de plus d’un millier d’emploi direct. Le maître d’œuvre se donne un délai deux ans pour livrer les trois ouvrages conformément à la recommandation de la présidente de la Fenacovici. « Nous avons presque fini les travaux de terrassement et l’architecte arrive dès la première semaine du mois de mars 2019 pour la construction proprement dite », assure-t-il.
« Je demande aux jeunes d’abonner la délinquance et de serrer la ceinture parce que le meilleur reste à venir. Ce projet offrira de milliers d’emplois direct et indirect aussi bien aux jeunes qualifiés que ceux qui ne le sont pas », conseille-t-il. Aux femmes, il les exhorte à ressembler à madame Irié Lou Colette, en étant des femmes battance pour faire avancer la Côte d’Ivoire.
