Gandié S/P Gbonné / Lutte contre les conflits identitaires et les profanations des forêts sacrées : Les solutions de l’ONG IDEF et du PNUD en exécution
L’organisation non gouvernementale Initiatives pour le développement communautaire séjourne dans la localité de Gandié dans la sous-préfecture de Gbonné dans le département de Biankouma. Objectif, aider les populations locales à mettre définitivement un terme aux conflits identitaires qu’elles connaissent à travers la mise en œuvre d’un projet dénommé « Participation des jeunes à la prévention et à la gestion des conflits identitaires liés à la profanation et à l’exploitation des forêts sacrées dans le département de Biankouma en Côte d’Ivoire ». Une initiative fiancée par le Programme des nations unis pour le développement (PNUD) et le Fond des nations unis et l’UNESCO pour la consolidation de la paix.
Tout comme à Gbonné, il a été question à Gandié de sensibiliser les populations sur la nécessité pour elles d’œuvrer au maintien de la paix et d’éviter toute action capable de mettre en mal la cohésion sociale. Parmi ces actions à éviter, il y a la profanation des forêts sacrées et la vente illicite des terres. Comme solution à mettre en œuvre par l’ONG IDEF, il y a la mise en œuvre des activités écoresponsables génératrices de revenue au bénéfice des jeunes afin de les mettre à l’abri de l’oisiveté, favoriser la création d’emplois avec l’appui technique et financier de l’ONG IDEF et ses partenaires financiers.
«Il est donc évident que pour freiner les infiltrations et la profanation des forêts sacrées, et donc renforcer la cohésion sociale, il est fondamental de renforcer la sensibilisation sur l’importance des forêts sacrées en valorisant leur richesse et leur rôle, ainsi que l’implication des communautés rurales à travers le renforcement des capacités sur la gestion durable en offrant des alternatives comme des activités génératrices de revenus (AEGR) et de développement communautaire », a expliqué M.KPENAHI Daleba Raymond Bernard (Assistant Technique), chef de la délégation de IDEF.
A Gandié, 200 jeunes seront impliqués dans un comité de surveillance pour assurer la protection des forêts sacrées et 20 autres formés au métier de pépiniéristes. Ils pourront apporter leur contribution à la reconstitution des forêts sacrées aux côtés de la direction régionale des eaux et forêts. Cette dernière a la responsabilité de procéder à la délimitation des sites protégés concernés par le projet.
Le sous-préfet de Gbangbegouiné, Ouattara Gervais représentant le préfet du département de Biankouma a exhorté les populations à s’approprier le projet, à respecter des conseils reçu pendant les séances de sensibilisation et à prôner le vivre ensemble dans un environnement paisibles et surtout dans le respect des us et coutumes. « Les forêts sacrées constituent un pan important du patrimoine culturel et ne saurait faire l’objet d’aucune cession. Elles doivent être protégées par tous. Et les jeunes doivent jouer un rôle capital dans cette protection. Je les invite aux bonnes pratiques et surtout à la discipline vis-à-vis du patrimoine culturel », a lancé le représentant de l’exécutif. Il a aussi invité les allogènes à respecter les règles établies et surtout les us et coutumes de ceux qui les ont accueilli. La séance de sensibilisation a été aussi marquée par un concours culinaire entre les communautés et un tournoi de football féminin et masculin. L’exécution du projet doit durer six mois.
Tout comme à Gbonné, il a été question à Gandié de sensibiliser les populations sur la nécessité pour elles d’œuvrer au maintien de la paix et d’éviter toute action capable de mettre en mal la cohésion sociale. Parmi ces actions à éviter, il y a la profanation des forêts sacrées et la vente illicite des terres. Comme solution à mettre en œuvre par l’ONG IDEF, il y a la mise en œuvre des activités écoresponsables génératrices de revenue au bénéfice des jeunes afin de les mettre à l’abri de l’oisiveté, favoriser la création d’emplois avec l’appui technique et financier de l’ONG IDEF et ses partenaires financiers. 
«Il est donc évident que pour freiner les infiltrations et la profanation des forêts sacrées, et donc renforcer la cohésion sociale, il est fondamental de renforcer la sensibilisation sur l’importance des forêts sacrées en valorisant leur richesse et leur rôle, ainsi que l’implication des communautés rurales à travers le renforcement des capacités sur la gestion durable en offrant des alternatives comme des activités génératrices de revenus (AEGR) et de développement communautaire », a expliqué M.KPENAHI Daleba Raymond Bernard (Assistant Technique), chef de la délégation de IDEF.
A Gandié, 200 jeunes seront impliqués dans un comité de surveillance pour assurer la protection des forêts sacrées et 20 autres formés au métier de pépiniéristes. Ils pourront apporter leur contribution à la reconstitution des forêts sacrées aux côtés de la direction régionale des eaux et forêts. Cette dernière a la responsabilité de procéder à la délimitation des sites protégés concernés par le projet.
Le sous-préfet de Gbangbegouiné, Ouattara Gervais représentant le préfet du département de Biankouma a exhorté les populations à s’approprier le projet, à respecter des conseils reçu pendant les séances de sensibilisation et à prôner le vivre ensemble dans un environnement paisibles et surtout dans le respect des us et coutumes. « Les forêts sacrées constituent un pan important du patrimoine culturel et ne saurait faire l’objet d’aucune cession. Elles doivent être protégées par tous. Et les jeunes doivent jouer un rôle capital dans cette protection. Je les invite aux bonnes pratiques et surtout à la discipline vis-à-vis du patrimoine culturel », a lancé le représentant de l’exécutif. Il a aussi invité les allogènes à respecter les règles établies et surtout les us et coutumes de ceux qui les ont accueilli. La séance de sensibilisation a été aussi marquée par un concours culinaire entre les communautés et un tournoi de football féminin et masculin. L’exécution du projet doit durer six mois.
