Le comité de Direction de l’Office Ivoirien des parcs et réserve de Côte d’Ivoire a tenu sa 4ème réunion annuelle de Direction qui a réuni dans la salle des réunions de la préfecture de Man, l’ensemble des Directeurs de Zone et Tous les chefs de secteurs et leurs adjoints respectifs. Il a été question pour les grosses têtes de l’OIPR de plancher sur le bilan annuel 2020 des activités de protection des parcs et réserves de Côte d’Ivoire. Un bilan jugé satisfaisant par le Directeur général, le Colonel Adama Tondossama.
Au cours de cette session, les chargés d’étude de chaque zone ont tour à tour dressé les bilans des activités de leurs zones respectives.
« Cette session nous a permis de faire le point au niveau de la gestion de l’OIPR au plan technique et financier. La grande majorité des activités programmées pour l’année 2020 ont été réalisées. Il y a quelques défis en termes d’implication des populations riveraines des réserves et parcs nationaux qu’il faut développer, mais aussi il y a des aménagements à réaliser dans les parcs nationaux. C’est un gros boulot qui a été fait par l’ensemble des équipes de l’OIPR sur l’ensemble du réseau des aires protégées », a déclaré le Colonel Adama Tondossama au terme des travaux.
Pour lui, le bilan est globalement satisfaisant. « L’ensemble des 5 Directions de zone ont pu déployer un certain nombre d’actions sur les aires protégées. Quand on regarde l’état de conservation de ces parcs nationaux, c’est globalement satisfaisant, même si quelques difficultés sont à déplorer au niveau des parcs nationaux du Mont Péko et de la Marahoué. C’est d’ailleurs ce qui explique que certains de ces parcs nationaux sont inscrits au patrimoine mondial, d’autres des zones de biosphère », a-t-il soutenu.
En termes de perspectives, le Directeur général annonce la mise en œuvre de leurs différentes fonctions de gestion, notamment les entités d’aménagement et de surveillance de ces espaces, l’implication des populations riveraines et des chercheurs dans la gestion de ces aires protégées. « Et l’élément qui est assez important pour nous, c’est que nous avons une équipe pluridisciplinaire et il faut que toutes les parties prenantes s’impliquent dans la gestion des parcs nationaux, qui sont un patrimoine commun, qu’il faut protéger pour le bien des générations futures et faire de nos enfants et petits-enfants des éco citoyens de demain », a-t-il relevé. Pour lui, les populations riveraines doivent en faire une gestion patrimoniale de sorte à ce que ces espaces puissent rester viables.
De son côté, le Directeur de cabinet adjoint, Fernand Kouassi représentant le ministre de l’environnement et du développement durable, a transmis le message d’encouragement du ministre Josèphe Seka Seka à l’équipe de l’OIPR et à son directeur général pour les efforts consentis dans la protection des parcs et réserves. « Les aires protégées constituent un pilier important dans la préservation de l’environnement et un levier important dans le développement économique du pays. C’est pourquoi au niveau du cabinet, nous sommes conscients que nous devons œuvrer pour mettre à la disposition de l’OIPR les moyens qu’il faut étant entendu qu’à leur niveau, ils doivent nous produire les résultats que nous attendons. Je vais transmettre à monsieur le ministre, les préoccupations, qui ont été formulées par l’OIPR et nous feront en sorte que ce qui est dans la mesure des possibilités de l’OIPR soit fait », a-t-il assuré. Aussi a-t-il félicité le Directeur général et l’ensemble de ses agents pour la performance de la structure.
Le lendemain samedi, des visites touristiques, une rencontre sportive et un dîner gala ont mis fin à cette rencontre annuelle de l’OIPR à Man.
Au cours de cette session, les chargés d’étude de chaque zone ont tour à tour dressé les bilans des activités de leurs zones respectives.
Pour lui, le bilan est globalement satisfaisant. « L’ensemble des 5 Directions de zone ont pu déployer un certain nombre d’actions sur les aires protégées. Quand on regarde l’état de conservation de ces parcs nationaux, c’est globalement satisfaisant, même si quelques difficultés sont à déplorer au niveau des parcs nationaux du Mont Péko et de la Marahoué. C’est d’ailleurs ce qui explique que certains de ces parcs nationaux sont inscrits au patrimoine mondial, d’autres des zones de biosphère », a-t-il soutenu.
En termes de perspectives, le Directeur général annonce la mise en œuvre de leurs différentes fonctions de gestion, notamment les entités d’aménagement et de surveillance de ces espaces, l’implication des populations riveraines et des chercheurs dans la gestion de ces aires protégées. « Et l’élément qui est assez important pour nous, c’est que nous avons une équipe pluridisciplinaire et il faut que toutes les parties prenantes s’impliquent dans la gestion des parcs nationaux, qui sont un patrimoine commun, qu’il faut protéger pour le bien des générations futures et faire de nos enfants et petits-enfants des éco citoyens de demain », a-t-il relevé. Pour lui, les populations riveraines doivent en faire une gestion patrimoniale de sorte à ce que ces espaces puissent rester viables.
De son côté, le Directeur de cabinet adjoint, Fernand Kouassi représentant le ministre de l’environnement et du développement durable, a transmis le message d’encouragement du ministre Josèphe Seka Seka à l’équipe de l’OIPR et à son directeur général pour les efforts consentis dans la protection des parcs et réserves. « Les aires protégées constituent un pilier important dans la préservation de l’environnement et un levier important dans le développement économique du pays. C’est pourquoi au niveau du cabinet, nous sommes conscients que nous devons œuvrer pour mettre à la disposition de l’OIPR les moyens qu’il faut étant entendu qu’à leur niveau, ils doivent nous produire les résultats que nous attendons. Je vais transmettre à monsieur le ministre, les préoccupations, qui ont été formulées par l’OIPR et nous feront en sorte que ce qui est dans la mesure des possibilités de l’OIPR soit fait », a-t-il assuré. Aussi a-t-il félicité le Directeur général et l’ensemble de ses agents pour la performance de la structure.
