Le secrétaire permanent de la commission électorale indépendante Kouamé Adjoumani Pierre, par ailleurs superviseur CEI de la région du Tonkpi a animé dans la salle des conférences du Cafop supérieur de Man, ce vendredi 26 novembre 2021, une conférence autour du Thème, « Election, instrument de renforcement de la paix sociale ». Cette activité s’inscrit dans le cadre de la campagne de sensibilisation et d’éducation civique initiée par la CEI.
Le secrétaire permanent de la CEI, a indiqué que cette activité obéit à la volonté de son institution de se faire connaître auprès de la population et briser le mur de la méfiance que certaines populations créent entre elles et l’institution chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire. « Il faut qu’on soit auprès de la population pour que ce mur de méfiance que nous avions puisse disparaître et ensemble nous allons penser élection sans violence, élection sans palabre, élection avec beaucoup de gaités, beaucoup de joie, pour qu’il y ait vraiment de la paix et le développement dans notre pays », a-t-il souligné. Pour lui, il y a deux facteurs importants pour qu’on ait une élection sans violence. « C’est d’abords la population non politique et la population politique qui sont les partis et groupements politiques. Et il y a la garantie que la CEI devrait donner comme neutralité pour qu’il y ait source de concordance, source de visibilité pour que nous puissions avoir des élections crédibles », a-t-il soutenu. Dans une approche aux allures d’une conférence magistrale bien élucidée avec des exemples pratiques, Adjoumani pierre a expliqué aux populations du Tonkpi, les conditions pour qu’il y ait une élection tranquille, juste, inclusive, transparente et démocratiques. Une élection qui conduit à une paix sociale durable. Il a assuré que son institution a toujours été fidèle à son slogan qui est « La CEI en toute transparence », contrairement à l’opinion que certaines personnes se font de cette institution. Il a exhorté les partis et groupements politiques à accepter les élections comme seuls moyens d’accès au pouvoir et surtout de guider et former les populations avec les subventions que l’Etat met à leurs dispositions. « Les partis politiques ont le droit de proposer des candidats aux élections, de proposer un programme de gouvernement. Ils peuvent aussi contester les résultats des élections mais il faut que cela se fasse dans le respect de la loi en vigueur », a-t-il fait savoir.
Dans cette conférence, Kouamé Adjoumani était assisté du commissaire central Adja Owo Serge Alain. Ce dernier est intervenu sur les garanties qu’offre l’institution, il s’agit des garanties statutaires et les garanties liées au mode opératoire adopté pour la conduite des opérations électorales.
Le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man a salué cette initiative, “la première du genre” de la CEI dont la mission essentielle est d’organiser et d’abriter les élections, les référendums, le recensement électorale et la révision de la liste électoral, sortir de ses bureaux pour aller au contact de la population pour expliquer que l’élection peut être un instrument de renforcement de la paix sociale. « Nous sommes venus pour exprimer notre joie, notre appui, soutien à la CEI pour lui dire que nous sommes heureux de cette heureuse initiative qui va continuer à nous familiariser davantage avec la CEI. Pour la simple raison que pour le commun des mortels, lorsqu’on parle de CEI, il voit déjà palabre des élections » a fait remarquer le préfet Jean Cyrille Attri.
Cette rencontre a mobilisé la grande majorité du corps préfectoral de la région du Tonkpi, des élus locaux, les chefs traditionnels, les guides religieux, des étudiants, des élèves du secondaire, des leaders d’options et des leaders communautaires. Tous ont salué l’initiative et invité la CEI à multiplier ce genre d’action auprès des populations.
Le secrétaire permanent de la CEI, a indiqué que cette activité obéit à la volonté de son institution de se faire connaître auprès de la population et briser le mur de la méfiance que certaines populations créent entre elles et l’institution chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire. « Il faut qu’on soit auprès de la population pour que ce mur de méfiance que nous avions puisse disparaître et ensemble nous allons penser élection sans violence, élection sans palabre, élection avec beaucoup de gaités, beaucoup de joie, pour qu’il y ait vraiment de la paix et le développement dans notre pays », a-t-il souligné. Pour lui, il y a deux facteurs importants pour qu’on ait une élection sans violence. « C’est d’abords la population non politique et la population politique qui sont les partis et groupements politiques. Et il y a la garantie que la CEI devrait donner comme neutralité pour qu’il y ait source de concordance, source de visibilité pour que nous puissions avoir des élections crédibles », a-t-il soutenu. Dans une approche aux allures d’une conférence magistrale bien élucidée avec des exemples pratiques, Adjoumani pierre a expliqué aux populations du Tonkpi, les conditions pour qu’il y ait une élection tranquille, juste, inclusive, transparente et démocratiques. Une élection qui conduit à une paix sociale durable. Il a assuré que son institution a toujours été fidèle à son slogan qui est « La CEI en toute transparence », contrairement à l’opinion que certaines personnes se font de cette institution. Il a exhorté les partis et groupements politiques à accepter les élections comme seuls moyens d’accès au pouvoir et surtout de guider et former les populations avec les subventions que l’Etat met à leurs dispositions. « Les partis politiques ont le droit de proposer des candidats aux élections, de proposer un programme de gouvernement. Ils peuvent aussi contester les résultats des élections mais il faut que cela se fasse dans le respect de la loi en vigueur », a-t-il fait savoir.
Dans cette conférence, Kouamé Adjoumani était assisté du commissaire central Adja Owo Serge Alain. Ce dernier est intervenu sur les garanties qu’offre l’institution, il s’agit des garanties statutaires et les garanties liées au mode opératoire adopté pour la conduite des opérations électorales.
Le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man a salué cette initiative, “la première du genre” de la CEI dont la mission essentielle est d’organiser et d’abriter les élections, les référendums, le recensement électorale et la révision de la liste électoral, sortir de ses bureaux pour aller au contact de la population pour expliquer que l’élection peut être un instrument de renforcement de la paix sociale. « Nous sommes venus pour exprimer notre joie, notre appui, soutien à la CEI pour lui dire que nous sommes heureux de cette heureuse initiative qui va continuer à nous familiariser davantage avec la CEI. Pour la simple raison que pour le commun des mortels, lorsqu’on parle de CEI, il voit déjà palabre des élections » a fait remarquer le préfet Jean Cyrille Attri.
Cette rencontre a mobilisé la grande majorité du corps préfectoral de la région du Tonkpi, des élus locaux, les chefs traditionnels, les guides religieux, des étudiants, des élèves du secondaire, des leaders d’options et des leaders communautaires. Tous ont salué l’initiative et invité la CEI à multiplier ce genre d’action auprès des populations.
