Par Kindo Ousseny /La police criminelle de Man a mis hors d’état de nuire un dangereux gang qui semait la terreur ces dernier temps à Man. Ce groupe de trois membres a fait environ 40 victimes dans la ville de Man avant d’être mis aux arrêts suite à une dénonciation anonyme.
Selon le capitaine Beugré Dakouri, chef de service régional de la police criminelle, après avoir reçu l’information de la localisation de l’un des bandits, le nommé Diomandé Tia Marcel Alias Mineur, lui et ses hommes se sont mis en branle pour mettre la main sur lui dans les environs du Cafop supérieur de Man le jeudi 15 février dernier. C’est donc ce dernier qui a servi de pique pour capturer celui qui vraisemblablement doit être le chef du gang, le porteur de Kalachnikov, le nommé Camara Almami. Les deux quidams ont conduit la police vers leur receleur nommé Traoré Mamourou. Une perquisition au domicile de ce dernier a permis de saisir plusieurs objets dont une moto Apache volée. Interrogés par la police, les scélérats n’ont pas hésité à vite passer aux aveux. « Nous avons attaqué l’hôtel « La cachette », l’hôtel Guetty, l’hôtel Lotus, le maquis Full option, un magasin de café cacao, des boutiques et plusieurs domiciles », a avoué Diomandé Tia Marcel le porteur de couteau. Camara Almamy a reconnu être le propriétaire de l’arme à feu. Une arme qui lui a été confiée par un de ses frères. Les deux hommes ont déjà été condamnés et sont dans les fichiers de la justice. Camara a fait la prison à Gagnoa, après avoir recouvré la liberté, il est venu retrouver Diomandé Tia Marcel, un ancien condamné alors qu’il était encore tout petit, ce qui lui vaut le surnom « Mineur ». C’est d’ailleurs lui qui est originaire de Man, qui connait la ville et sert de Guide à Camara Almamy pour mener les actes de braquage. D’après le chef de la police criminelle de Man, 13 plaintes ont déjà été portées contre ces scélérats qui doivent répondre de leurs actes devant le parquet.
L’arrestation de ce gang qui a beaucoup sévit ces mois de Janvier et février à Man constitue un réel soulagement pour la population. La police estime qu’il existe un véritable réseau qu’elle s’emploiera à démanteler. Cependant, cette unité spéciale en charge d’éradiquer le grand banditisme est en nombre insuffisant d’effectif et en manque de moyen de locomotion. La hiérarchie de la police nationale doit se pencher sur la situation de cette unité spéciale qui couvre les régions du Guémon, du Cavally et du Tonkpi.
Selon le capitaine Beugré Dakouri, chef de service régional de la police criminelle, après avoir reçu l’information de la localisation de l’un des bandits, le nommé Diomandé Tia Marcel Alias Mineur, lui et ses hommes se sont mis en branle pour mettre la main sur lui dans les environs du Cafop supérieur de Man le jeudi 15 février dernier. C’est donc ce dernier qui a servi de pique pour capturer celui qui vraisemblablement doit être le chef du gang, le porteur de Kalachnikov, le nommé Camara Almami. Les deux quidams ont conduit la police vers leur receleur nommé Traoré Mamourou. Une perquisition au domicile de ce dernier a permis de saisir plusieurs objets dont une moto Apache volée. Interrogés par la police, les scélérats n’ont pas hésité à vite passer aux aveux. « Nous avons attaqué l’hôtel « La cachette », l’hôtel Guetty, l’hôtel Lotus, le maquis Full option, un magasin de café cacao, des boutiques et plusieurs domiciles », a avoué Diomandé Tia Marcel le porteur de couteau. Camara Almamy a reconnu être le propriétaire de l’arme à feu. Une arme qui lui a été confiée par un de ses frères. Les deux hommes ont déjà été condamnés et sont dans les fichiers de la justice. Camara a fait la prison à Gagnoa, après avoir recouvré la liberté, il est venu retrouver Diomandé Tia Marcel, un ancien condamné alors qu’il était encore tout petit, ce qui lui vaut le surnom « Mineur ». C’est d’ailleurs lui qui est originaire de Man, qui connait la ville et sert de Guide à Camara Almamy pour mener les actes de braquage. D’après le chef de la police criminelle de Man, 13 plaintes ont déjà été portées contre ces scélérats qui doivent répondre de leurs actes devant le parquet.
