La deuxième réunion du comité de gestion local (CGL) de la réserve intégrale du mont nimba s’est tenue ce jeudi 25 juillet dans les locaux du bureau départemental de l’Office ivoirien des parcs et réserve. A cette réunion, le représentant du directeur général de l’Oipr s’est félicité du bon fonctionnement du CGL.
Le commandant Diarrassouba Issa représentant le directeur général de l’Oipr, au terme de la réunion a salué l’implication de plusieurs acteurs dans la protection des aires protégés. « L’Oipr est satisfait du bon fonctionnement du comité de gestion local de la réserve intégrale du mont Nimba et celui du parc national du mont Sangbé. Etant donné qu’on sent une véritable implication des parties prenantes dans ces différents comités. Que les bilans sont faits, qu’on sent également que sur le terrain, il n’y a pas que l’Office ivoirien des parcs et réserves aujourd’hui qui mène des activités de protection des aires protégés. De plus en plus, Les Ong sont impliquées. Elles-mêmes captent des financements auprès des bailleurs, les exécutent en étroite collaboration avec les équipes de l’Oipr. Les populations riveraines s’approprient également des outils et des techniques que l’Oipr met en œuvre», s’est-il réjouit.
Lors de la rencontre, les acteurs et plus particulièrement le commandant Beda Ange Alexe et le colonel Zanou Moïse ont relevé des difficultés dans le cadre des activités de protection de la réserve intégrale. Il s’agit entre autres de l’inadéquation des équipements pour les abris des agents dans la zone qui est régulièrement arrosée par la pluie, insuffisance d’outil de communication, mauvais état des pistes entravant la bonne exécution des patrouilles et l’insuffisance des moyens de mobilité.
Face à ces difficultés, le commandant Diarrassouba Issa a assuré que la direction générale de l’Oipr est à pied d’œuvre pour mobiliser des ressources complémentaires pour faciliter les activités de gestion et lever les difficultés susmentionnées.
Le colonel Zanou Moise, directeur de la zone ouest de l’Oipr a annoncé l’arrestation de trois individus dans la réserve par la partie Guinéenne dont deux ivoiriens qui ont été mis à la disposition de la justice ivoirienne. Les deux réfractaires ont été jugés à la section du tribunal de Danané et condamné chacun à un mois ferme assorti d’une amende de 100.000 francs chacun pour avoir mené des activités peu recommandables dans la réserve dont toute pénétration non autorisée est formellement interdite.
L’officier supérieur de l’Oipr s’est réjoui de l’adhésion des populations riveraines dans la protection de la réserve, qui pourrait être retirée bientôt de la liste des patrimoines en péril si des actions communes sont bien menées par les parties guinéenne et ivoirienne.
A cette rencontre de Danané, des projets d’activités génératrices de revenus initiés et exécutés par l’Oipr et des ONG partenaires au bénéfice des populations riveraines ont été présentés. Le président du Cgl, le préfet du département de Danané Diarra Abdoul Karim a félicité les différents acteurs impliqués dans la protection de la réserve intégrale du mont Nimba pour l’efficacité de leurs actions. Tout en plaidant pour que tout ce qui sera fait dans la zone concourt à la préservation de la cohésion sociale et une paix durable.
Le commandant Diarrassouba Issa représentant le directeur général de l’Oipr, au terme de la réunion a salué l’implication de plusieurs acteurs dans la protection des aires protégés. « L’Oipr est satisfait du bon fonctionnement du comité de gestion local de la réserve intégrale du mont Nimba et celui du parc national du mont Sangbé. Etant donné qu’on sent une véritable implication des parties prenantes dans ces différents comités. Que les bilans sont faits, qu’on sent également que sur le terrain, il n’y a pas que l’Office ivoirien des parcs et réserves aujourd’hui qui mène des activités de protection des aires protégés. De plus en plus, Les Ong sont impliquées. Elles-mêmes captent des financements auprès des bailleurs, les exécutent en étroite collaboration avec les équipes de l’Oipr. Les populations riveraines s’approprient également des outils et des techniques que l’Oipr met en œuvre», s’est-il réjouit.
Face à ces difficultés, le commandant Diarrassouba Issa a assuré que la direction générale de l’Oipr est à pied d’œuvre pour mobiliser des ressources complémentaires pour faciliter les activités de gestion et lever les difficultés susmentionnées.
L’officier supérieur de l’Oipr s’est réjoui de l’adhésion des populations riveraines dans la protection de la réserve, qui pourrait être retirée bientôt de la liste des patrimoines en péril si des actions communes sont bien menées par les parties guinéenne et ivoirienne.
