Les leaders des organisations de la société civile de Man sont en atelier les vendredi 25 et samedi 26 juin dans un hôtel de la ville de Man. Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Finances publiques, notre affaire à tous ». Un projet mis en œuvre par l’APDH, (Action pour la protection des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, avec le soutien financier de l’Union européenne et la Fondation Konarad Adenauer Stiftung.
Il s’agit selon les initiateurs, d’un atelier de renforcement des capacités des organisations de la société civile dans l’analyse des documents de contrôle économique et de gestion des finances publiques. « Cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités des organisations de la société civile pour une meilleure participation dans la gestion des finances publiques surtout au niveau local », a indiqué Dame Touré Fatima, coordonnatrice du projet « Finance publique notre affaire à tous.
Pendant deux jours, l’experte Ano Akouba va instruire les participants sur les mécanismes d’action pour une meilleure participation à la gestion des finances publiques à travers plusieurs thématiques.
Cette formation selon Touré Fatima, est motivée par un constat selon lequel, les organisations de la société civile ne sont pas impliquées dans la gestion des finances publiques qui pourtant devrait être l’affaire de tous. Pour elle, il est question de donner les outils nécessaires à ces organisations pour participer au contrôle citoyen de la gestion des finances publiques.
« Au sortir de cet atelier, nous attendons des acteurs de la société civile une peu plus d’action auprès des mairies et des conseils régionaux et même de l’administration pour le suivi des dépenses publiques et qu’ils puissent faire des propositions auprès de ces administrations pour améliorer les conditions des populations de leurs localités respectives parce qu’ils sont encore plus proches des populations que les élus locaux», a-t-elle précisé. Pour elle c’est plus facile pour les acteurs de la société civile de faire des propositions de politiques publiques aux décideurs.
Selon Touré Fatima, le projet a une durée de deux ans et couvre 14 localités du pays.
Il s’agit selon les initiateurs, d’un atelier de renforcement des capacités des organisations de la société civile dans l’analyse des documents de contrôle économique et de gestion des finances publiques. « Cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités des organisations de la société civile pour une meilleure participation dans la gestion des finances publiques surtout au niveau local », a indiqué Dame Touré Fatima, coordonnatrice du projet « Finance publique notre affaire à tous.
Pendant deux jours, l’experte Ano Akouba va instruire les participants sur les mécanismes d’action pour une meilleure participation à la gestion des finances publiques à travers plusieurs thématiques.
« Au sortir de cet atelier, nous attendons des acteurs de la société civile une peu plus d’action auprès des mairies et des conseils régionaux et même de l’administration pour le suivi des dépenses publiques et qu’ils puissent faire des propositions auprès de ces administrations pour améliorer les conditions des populations de leurs localités respectives parce qu’ils sont encore plus proches des populations que les élus locaux», a-t-elle précisé. Pour elle c’est plus facile pour les acteurs de la société civile de faire des propositions de politiques publiques aux décideurs.
Combien d’organisations de la societe civile existe a man ?