Le sous-préfet de Biankouma, Aliali Hervé a eu une rencontre avec les chefs de villages de sa circonscription le weekend dernier. L’objectif de cette rencontre était de présenter le bilan annuel de ses activités à ses administrés. Un bilan qu’il juge positif.
Selon le sous-préfet de la circonscription de Biankouma Aliali N’dri Hervé, le bilan est satisfaisant dans l’ensemble. Des villages qui étaient divisés en deux avec deux chefs de villages sont désormais unifiés avec un seul chef. Il s’agit de Gbablasso 1 et 2 devenus Gbablasso avec un seul chef. Douè et et 2 devenus aussi un seul village. Gan 1 et 2 aussi ont désormais un seul chef. Mangouin et Gnrongouin qui étaient deux villages portent désormais le seul non composé de Mangouin-Gnrongouin et les tractations sont en cours pour la désignation d’un chef unique. « En plus de ces villages unifiés, il y en a qui sont des modèles de cohésion social, notamment Gouessesso, Gbombélo et Dingouin qui ont besoin d’être encouragés et soutenus dans leurs processus de développement », a précisé le sous-préfet.
Au niveau de la chefferie traditionnelle, 04 villages avaient un problème de chefs dont deux ont été pourvus cette année en chef. Il s’agit de Biotondé et Fondepleu. Le village de Sokourala qui avait aussi un problème de chef est en voie de trouver une solution. la consultation populaire a eu lieu. « Tous les notable se sont entendus autour d’un chef. Mais sur près d’un millier de participants à la rencontre, 02 personnes ont protesté et sur ordre du préfet nous les avons ramenés à la concertation pour trouver un consensus. Le dernier village c’est Mangouin-Gnrongouin, récemment unifié. « Selon les informations que nous avons reçu des notables, un consensus a été trouvé et nous irons faire les consultations populaires après les fêtes de fin d’année », a-t-il expliqué.
L’activité qui a aussi marqué l’année dans la sous-préfecture est la délimitation des territoires villageois. Sur la question que le sous-préfet considère comme « un panier à crabe », il y a une satisfaction. « Sur les 28 villages, 20 sont entièrement délimités et il ne reste que 08 villages à délimiter dont 5 sont partiellement limités. Les trois autres n’ont pas encore reçu la visite du cabinet Setif en charge de la délimitation », a-t-il relevé. Selon lui, ces opérations ont permis aux villageois de comprendre les erreurs qu’ils ont commises en vendant leurs terres. « Ils se sont rendus compte de la bêtise qu’ils ont commis et voulaient conquérir de nouvelles terres dans les délimitations. Mais avec les sensibilisations, tout est rentré dans l’ordre », fait-il remarquer. Au niveau des infrastructures, c’est le nouveau village unifié Mangouin-Gnrongouin qui a vu son foyer réhabilité et équipé grâce à un projet monté par le sous-préfet et financé par le ministère de la solidarité et de la cohésion sociale.
En perspective, Aliali Hervé entend engager les procédures pour satisfaire les besoins en infrastructures socioéconomiques notamment, en eau potable, en équipement de tables-bancs pour des villages jugés comme des modèles de stabilités.
La tâche noire a été constatée dans trois villages, notamment Kandopleu, Tê, et le quartier Mangouin pour des problèmes de sorcellerie, des porteurs de masques, ont troublé la quiétude des populations.
Selon le sous-préfet de la circonscription de Biankouma Aliali N’dri Hervé, le bilan est satisfaisant dans l’ensemble. Des villages qui étaient divisés en deux avec deux chefs de villages sont désormais unifiés avec un seul chef. Il s’agit de Gbablasso 1 et 2 devenus Gbablasso avec un seul chef. Douè et et 2 devenus aussi un seul village. Gan 1 et 2 aussi ont désormais un seul chef. Mangouin et Gnrongouin qui étaient deux villages portent désormais le seul non composé de Mangouin-Gnrongouin et les tractations sont en cours pour la désignation d’un chef unique. « En plus de ces villages unifiés, il y en a qui sont des modèles de cohésion social, notamment Gouessesso, Gbombélo et Dingouin qui ont besoin d’être encouragés et soutenus dans leurs processus de développement », a précisé le sous-préfet.
L’activité qui a aussi marqué l’année dans la sous-préfecture est la délimitation des territoires villageois. Sur la question que le sous-préfet considère comme « un panier à crabe », il y a une satisfaction. « Sur les 28 villages, 20 sont entièrement délimités et il ne reste que 08 villages à délimiter dont 5 sont partiellement limités. Les trois autres n’ont pas encore reçu la visite du cabinet Setif en charge de la délimitation », a-t-il relevé. Selon lui, ces opérations ont permis aux villageois de comprendre les erreurs qu’ils ont commises en vendant leurs terres. « Ils se sont rendus compte de la bêtise qu’ils ont commis et voulaient conquérir de nouvelles terres dans les délimitations. Mais avec les sensibilisations, tout est rentré dans l’ordre », fait-il remarquer. Au niveau des infrastructures, c’est le nouveau village unifié Mangouin-Gnrongouin qui a vu son foyer réhabilité et équipé grâce à un projet monté par le sous-préfet et financé par le ministère de la solidarité et de la cohésion sociale.
