Dès les premières semaines de l’apparition de la pandémie de la maladie à Coronavirus en Côte d’Ivoire, les autorités ont institué des mesures barrières pour empêcher la progression du virus dans le pays. Cependant, il existe des individus qui font la sourde oreille face à ces mesures en adoptant des comportements à risque. Ces personnes sont issus des toutes les couches sociales.
Les mesures barrières, à savoir le lavage régulier des mains, l’utilisation du gèle hydro alcoolique en l’absence de l’eau et du savon, la distanciation sociale de 1 mètre entre les personnes, la limitation des voyages, le port des masques de protection et autres sont foulés aux pieds par ces personnes.
Eux ce sont les commerçants en premier lieu. Ils sont encore rares les boutiquiers et autres commerçants qui ont installé des dispositifs de lavage des mains devant leurs magasins. Ceux qui en ont n’y mettent pas de savons. Dans les marchés c’est la proximité tout azimut. Les nombreuses campagnes de sensibilisation menée par les organisations non gouvernementales, les associations de jeunes, la plateforme des journalistes contre le covid 19 semblent tomber dans des oreilles de sourds. Mêmes les détenteurs de magasin de ventes de seau n’ont pas de dispositifs de lavage de mains à l’entrée de leurs magasins. Dans le marché ils sont rares les usagers qui portent les masques de protection, en terme statistiques, l’ont peu affirmer sans risque de se tromper que moins de 1% des usagers du marché porte un masque de protection.
Chez les transporteurs notamment les chauffeurs de taxis et ceux des minicars appelés communément gbaka, s’illustres comme les grands réfractaires au mesures que eux même ont décidé dans un premier temps avant même le conseil national de sécurité à savoir pas plus de 4 occupants dans un taxis et pas plus de 16 passagers dans un mini car de 20 places. En dépit de la réduction des taxes et du coup du carburant par l’Etat pour leur faciliter les choses, ce qui importe plus c’est leur gain quotidien. Dans les taxis certains chauffeurs continuent de coincer les passagers soit deux devant et trois ou quatre derrières. Le port des masques obligatoire recommandés par le haut conseil du transport et l’ensemble des syndicats, pour les chauffeurs semble n’avoir aucun sens pour des acteurs de ce secteur. Ils sont nombreux à continuer à travailler comme en temps normal, exposants ainsi leurs passagers et leurs propres familles au Covid 19.
Pour les noceurs, en lieu et place des maquis et bar fermés, la parade toute trouvée reste les bistrots dont certains transformés en maquis plein air à l’intérieur des quartiers. Dans ces maquis de fortune, la boisson coule à flot, tout en faisant fi des mesures barrières. Certains de ces bistrots ont vu leurs matériels saisis par la police. Mais cela ne les a en aucun cas découragés. Ils continuent de défier la loi et l’autorité dans leur commerce à risque.
Dans les cabines téléphoniques, le téléphone du gérant est touché par tous les clients qui passent devant lui, sans aucune précaution. Tout client qui arrive, le gérant lui tend le téléphone pour composer son numéro. Une manière pour lui d’éviter d’endosser une éventuelle erreur dans la composition de son numéro, or, il peut dans ces opérations se faire contaminer et contaminer tous ceux qui passent dans sa cabine et même sa propre famille sans s’en rendre compte.
Beaucoup reste donc à faire pour une véritable prise de conscience de l’existence de la pandémie à Corona virus dans cette région qui a déjà enregistré 4 cas dont 1 à Man et trois à Zouan-hounien. Pour l’heure, respectons les mesures barrières pour nous sauver et sauver les autres.
Les mesures barrières, à savoir le lavage régulier des mains, l’utilisation du gèle hydro alcoolique en l’absence de l’eau et du savon, la distanciation sociale de 1 mètre entre les personnes, la limitation des voyages, le port des masques de protection et autres sont foulés aux pieds par ces personnes.
Chez les transporteurs notamment les chauffeurs de taxis et ceux des minicars appelés communément gbaka, s’illustres comme les grands réfractaires au mesures que eux même ont décidé dans un premier temps avant même le conseil national de sécurité à savoir pas plus de 4 occupants dans un taxis et pas plus de 16 passagers dans un mini car de 20 places. En dépit de la réduction des taxes et du coup du carburant par l’Etat pour leur faciliter les choses, ce qui importe plus c’est leur gain quotidien. Dans les taxis certains chauffeurs continuent de coincer les passagers soit deux devant et trois ou quatre derrières. Le port des masques obligatoire recommandés par le haut conseil du transport et l’ensemble des syndicats, pour les chauffeurs semble n’avoir aucun sens pour des acteurs de ce secteur. Ils sont nombreux à continuer à travailler comme en temps normal, exposants ainsi leurs passagers et leurs propres familles au Covid 19.
Pour les noceurs, en lieu et place des maquis et bar fermés, la parade toute trouvée reste les bistrots dont certains transformés en maquis plein air à l’intérieur des quartiers. Dans ces maquis de fortune, la boisson coule à flot, tout en faisant fi des mesures barrières. Certains de ces bistrots ont vu leurs matériels saisis par la police. Mais cela ne les a en aucun cas découragés. Ils continuent de défier la loi et l’autorité dans leur commerce à risque. 
Beaucoup reste donc à faire pour une véritable prise de conscience de l’existence de la pandémie à Corona virus dans cette région qui a déjà enregistré 4 cas dont 1 à Man et trois à Zouan-hounien. Pour l’heure, respectons les mesures barrières pour nous sauver et sauver les autres.
