L’organisation non gouvernementale Likoleh Côte d’Ivoire a initié une opération de délivrance d’extrait d’acte de naissance à 180 enfants des villages communaux de Biankouma. Cette opération qui se déroule en partenariat avec la mairie de Biankouma s’inscrit dans le cadre du projet de lutte contre la non-déclaration des enfants à l’État civil avec un financement de la fondation OSIWA, (Open society initiative for west africa). Pour cette phase, 300 enfants de la commune de Biankouma et de la sous-préfecture de Bogouiné sont concernés.
Selon Tiémoko Bih, coordonnateur projet de l’ONG Likoleh, cette initiative de sa structure vise à lutter contre la non-déclaration des enfants à l’État civile engagée par sa structure depuis 2018 avec l’appui financier de la fondation Osiwa. « Pour cette phase, il est question pour nous d’aider 300 enfants dont 120 dans la sous-préfecture de Bogouiné et 180 dans la commune de Biankouma », a-t-il précisé. Selon lui, ces opérations ont été facilitées par la direction du contrôle de l’État civil du ministère de la justice et des libertés publiques, qui a acheminé des imprimantes auprès du parquet, le président du tribunal de première instance de Man et le procureur de la république. Cette cérémonie a été l’occasion pour l’ONG Likoleh Côte d’Ivoire de sensibiliser les chefs coutumiers de la commune de Biankouma sur l’importance de l’extrait d’acte de naissance. Pour cette organisation non gouvernementale, l’extrait d’acte de naissance est le document le plus important de la vie d’une personne dès sa naissance. Et il doit être conservé précieusement à l’abri des enfants et de toute possibilité de dégradation.
Bih Tiémoko a aussi précisé que l’opération d’octroi d’extrait d’acte de naissance à Biankouma répond à une sollicitation du maire de la commune dans sa volonté de faire en sorte que chaque enfant de sa circonscription dispose d’un extrait d’acte de naissance.
Le premier magistrat de la commune de Biankouma, Maninga Gbah Jean Jacques a salué l’action de l’ONG Likoleh qui sonne comme une bouffée d’oxygène pour les parents d’élèves. « Cette opération arrive à point nommé. Nous sommes confrontés à cette situation des enfants qui n’ont pas d’extrait de naissance à l’école surtout au moment des examens. Nous recevons souvent le point de la situation des inspections de l’enseignement primaire qui nous demande de trouver des solutions avec le tribunal pour que ces enfants ne soient pas sacrifiés. Si aujourd’hui, l’ONG Likoleh vient soulager ces enfants, au nombre de 180, pour nous c’est une grande satisfaction », s’est félicité le maire Gbah Jean Jacques. Il a saisi cette opportunité pour exhorter ses parents notamment les chefs traditionnels à s’approprier cette opération et surtout à sensibiliser leurs administrés à ne pas négliger les actes de l’État civil.
Sangbeu Gondo Josèphe, chef du quartier Plateau 2 de Biankouma a au nom de ses paires salué cette opération qui vient sauver leurs enfants. Parce que pour lui, c’est à travers l’État civil que l’existence d’une personne est reconnue et peut exercer et jouir de ses droits. Il s’est engagé au nom de ses pairs à relayer les informations reçues auprès de leurs populations.
Selon Tiémoko Bih, coordonnateur projet de l’ONG Likoleh, cette initiative de sa structure vise à lutter contre la non-déclaration des enfants à l’État civile engagée par sa structure depuis 2018 avec l’appui financier de la fondation Osiwa. « Pour cette phase, il est question pour nous d’aider 300 enfants dont 120 dans la sous-préfecture de Bogouiné et 180 dans la commune de Biankouma », a-t-il précisé. Selon lui, ces opérations ont été facilitées par la direction du contrôle de l’État civil du ministère de la justice et des libertés publiques, qui a acheminé des imprimantes auprès du parquet, le président du tribunal de première instance de Man et le procureur de la république. Cette cérémonie a été l’occasion pour l’ONG Likoleh Côte d’Ivoire de sensibiliser les chefs coutumiers de la commune de Biankouma sur l’importance de l’extrait d’acte de naissance. Pour cette organisation non gouvernementale, l’extrait d’acte de naissance est le document le plus important de la vie d’une personne dès sa naissance. Et il doit être conservé précieusement à l’abri des enfants et de toute possibilité de dégradation.
Le premier magistrat de la commune de Biankouma, Maninga Gbah Jean Jacques a salué l’action de l’ONG Likoleh qui sonne comme une bouffée d’oxygène pour les parents d’élèves. « Cette opération arrive à point nommé. Nous sommes confrontés à cette situation des enfants qui n’ont pas d’extrait de naissance à l’école surtout au moment des examens. Nous recevons souvent le point de la situation des inspections de l’enseignement primaire qui nous demande de trouver des solutions avec le tribunal pour que ces enfants ne soient pas sacrifiés. Si aujourd’hui, l’ONG Likoleh vient soulager ces enfants, au nombre de 180, pour nous c’est une grande satisfaction », s’est félicité le maire Gbah Jean Jacques. Il a saisi cette opportunité pour exhorter ses parents notamment les chefs traditionnels à s’approprier cette opération et surtout à sensibiliser leurs administrés à ne pas négliger les actes de l’État civil.
Sangbeu Gondo Josèphe, chef du quartier Plateau 2 de Biankouma a au nom de ses paires salué cette opération qui vient sauver leurs enfants. Parce que pour lui, c’est à travers l’État civil que l’existence d’une personne est reconnue et peut exercer et jouir de ses droits. Il s’est engagé au nom de ses pairs à relayer les informations reçues auprès de leurs populations.
