Les commerçants jouxtant le carrefour de la pharmacie moderne ont gros sur le cœur. Avec eux les passants ahuris par le gros tas d’ordures sauvages qui y pousse. Joint par ces commerçants, man-ville.net a fait le constat, ce dimanche 05 janvier dans la matinée.
En nous rendant sur les lieux, une odeur désagréable nous accueille à plus de 10 mètres. Passants comme commerçants se bouchent les narines pour passer.
La situation ne laisse pas indifférent les passants qui ne peuvent s’empêcher de lâcher des jurons. « Comment des individus peuvent jeter des ordures en plein marché et sur une voie principale», fulmine un passant.
Les commerçants à côté notamment les vendeuses de nourriture sont ceux là qui paient le prix fort de ces actes d’incivisme. Ils ne cachent pas leur colère.« Nous en avons marre. À quoi servent les tickets que nous payons. La mairie est spectatrice face à cette situation. Nous vendons de la nourriture et à cause de ça (les ordures) nos clients nous fuient. Les gens se permettent de jeter des ordures en masse comme si cette voie était devenue un dépôtoir annexe », déplore une jeune vendeuse de pain et viande braisée, installée juste à côté de ces tas d’immondices.
Les interrogations sur les responsabilités des uns et des autres par rapport à cette situation vont bon train. La mairie tente tant bien que mal de régler le problème. Ces efforts semblent ne pas porter. Car à Man, l’incivisme semble être la chose la mieux partagée, remettant ainsi en cause les efforts de l’équipe municipale, visant à débarrasser la ville des ordures sauvages.
En plus de ce dépôt d’ordures gênant du marché, il y a plusieurs autres dépôts sauvages en cours de construction dans certains quartiers dont le carrefour Cafop, une œuvre des populations riveraines.
En nous rendant sur les lieux, une odeur désagréable nous accueille à plus de 10 mètres. Passants comme commerçants se bouchent les narines pour passer.
Les commerçants à côté notamment les vendeuses de nourriture sont ceux là qui paient le prix fort de ces actes d’incivisme. Ils ne cachent pas leur colère.« Nous en avons marre. À quoi servent les tickets que nous payons. La mairie est spectatrice face à cette situation. Nous vendons de la nourriture et à cause de ça (les ordures) nos clients nous fuient. Les gens se permettent de jeter des ordures en masse comme si cette voie était devenue un dépôtoir annexe », déplore une jeune vendeuse de pain et viande braisée, installée juste à côté de ces tas d’immondices.
