L’UNFPA invite les autorités et leaders d’opinion à faire sienne la lutte.
Par DIOMANDE YOU/ Des études menées sur la mortalité maternelle lors des accouchements, montrent que l’une de ses causes est le refus et la négligence de fréquenter les hôpitaux pendant la grossesse. Et malheureusement, le Tonkpi n’est pas en reste.
Nombreuses sont les femmes enceintes qui n’ont jamais mis pied dans un centre de santé pour s’enquérir de l’état de santé de leur future progéniture, ou de leur santé personnelle. La plupart ont recours aux plantes médicinales. Si ce ne sont pas les conseils des matrones .Toute chose qui les expose à des complications lors des accouchements, souvent même à la mort. Tirant sur la sonnette d’alarme à Sipilou, il n’y a pas longtemps, Abiba Ouattara, représentante du Fond des Nations pour la population, a dressé un tableau sombre de cette réalité. « Une femme sur 20, meure chaque année pour n’avoir pas rendu visite aux centres de santé. Sans compter la mortalité infantile, les déformations de fétus …etc. » A rappelé Abiba Ouattara, très soucieuse d’éradiquer cela dans le Tonkpi. Dès lors, l’implication des leaders communautaires, d’opinion, et certaines autorités administratives ainsi que politiques, devient nécessaire. Lesquels vont mener une sensibilisation tous azimut dans cette zone du pays où la tradition demeure une référence de vie.
« Je demande donc au préfet, à madame Glao, au chef de canton, et aux autres Leaders de femmes, de sensibiliser nos mamans afin de les emmener à faire les visites prénatales » a exhorté la représentante de l’UNFPA, très optimiste que ces personnalités citées seront écoutées. Le préfet de Sipilou, Assamoi Florentins, pour sa part s’est engagé à saisir la perche tendue par l’UNFPA. Car selon lui, la femme est le socle de la société. « Ainsi, toute chose qui contribue à son bien être et à son épanouissement constituera pour moi une priorité » s’est engagé le gouverneur. Sans oublier que madame Glao, femme modèle et dynamique du Tonkpi, a promis de jouer sa partition dans cette lutte, qui devrait être aussi l’affaire de tous».
Nombreuses sont les femmes enceintes qui n’ont jamais mis pied dans un centre de santé pour s’enquérir de l’état de santé de leur future progéniture, ou de leur santé personnelle. La plupart ont recours aux plantes médicinales. Si ce ne sont pas les conseils des matrones .Toute chose qui les expose à des complications lors des accouchements, souvent même à la mort. Tirant sur la sonnette d’alarme à Sipilou, il n’y a pas longtemps, Abiba Ouattara, représentante du Fond des Nations pour la population, a dressé un tableau sombre de cette réalité. « Une femme sur 20, meure chaque année pour n’avoir pas rendu visite aux centres de santé. Sans compter la mortalité infantile, les déformations de fétus …etc. » A rappelé Abiba Ouattara, très soucieuse d’éradiquer cela dans le Tonkpi. Dès lors, l’implication des leaders communautaires, d’opinion, et certaines autorités administratives ainsi que politiques, devient nécessaire. Lesquels vont mener une sensibilisation tous azimut dans cette zone du pays où la tradition demeure une référence de vie.
« Je demande donc au préfet, à madame Glao, au chef de canton, et aux autres Leaders de femmes, de sensibiliser nos mamans afin de les emmener à faire les visites prénatales » a exhorté la représentante de l’UNFPA, très optimiste que ces personnalités citées seront écoutées. Le préfet de Sipilou, Assamoi Florentins, pour sa part s’est engagé à saisir la perche tendue par l’UNFPA. Car selon lui, la femme est le socle de la société. « Ainsi, toute chose qui contribue à son bien être et à son épanouissement constituera pour moi une priorité » s’est engagé le gouverneur. Sans oublier que madame Glao, femme modèle et dynamique du Tonkpi, a promis de jouer sa partition dans cette lutte, qui devrait être aussi l’affaire de tous». 
