Le gouvernement ivoirien dans le cadre de la lutte contre les effets néfastes de la maladie à Coronavirus sur les populations a initié un programme spécial de production de riz pour assurer des stocks minima et lutter contre la faim pour un investissement de 19 milliards. Les producteurs de l’ouest montagneux ne veulent pas rester en marge de ce programme. Ce jeudi 07 mai 2020, ils ont initié une rencontre à cet effet à la préfecture de Man.
Pour Singo Sidiki, administrateur de l’interprofession riz et président de l’Union des coopératives des riziculteurs des régions du Tonkpi, du Guémon et du Cavally, cette rencontre a pour objectif de mobiliser les producteurs pour permettre à la Côte d’Ivoire de couvrir les besoins du pays en riz. « Depuis l’avènement de la pandémie du Covid 19, la côte d’Ivoire qui importe les 2/3 de sa consommation dans les pays asiatiques, ces pays qui sont les plus touchés par la pandémie ont fermé leurs frontières, et notre pays se trouve avec un manque de 500000 tonnes pour couvrir son besoin en riz. Il est donc important pour nous de faire appel aux professionnels du secteur pour les mobiliser afin qu’ils se mettent au travail pour combler ce gap », a expliqué Singo Sidiki.
Il s’agira pour les producteurs de l’ouest de produire 24000 tonnes sur un espace cultivable de 6000 hectares. « Nous avons identifié les sites de production ainsi que les producteurs et les acteurs qui vont nous accompagner dans l’encadrement. Il est questions pour nous de faire en sorte que les producteurs puissent effectivement bénéficier des moyens dégagés. Les utiliser à bon escient pour atteindre les objectifs que l’Etat s’est fixés », a-t-il expliqué.
A cette rencontre, le directeur régional de l’Agence nationale du développement rural (Anader), Dosso Ysoufou, représentant le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man, a indiqué qu’avec la pandémie, si rien n’est fait, dans trois à quatre mois, la Côte d’Ivoire pourrait se retrouver face à une crise alimentaire. C’est pourquoi, il a exhorté les producteurs à prendre au sérieux ce programme d’urgence qui vise à donner une réponse anticipée à cette autre crise alimentaire qui menace le pays. Selon lui, l’Anader a été choisie pour accompagner les producteurs dans l’atteinte des objectifs fixés. « C’est une belle opportunité, et ce sont ceux qui sont en activité qui en seront les bénéficiaires. C’est un plan d’action spécial que le gouvernement a initié pour faire face à l’urgence, ciblant les zones irriguées à fort potentiel de production, que sont les grands baffons, les plaines. Toutes les autres spéculations sont concernées », a-t-il souligné. Selon lui à l’ouest c’est Oriane Industrie qui est chargé de conduire avec l’Aderiz la mise en œuvre de ce programme.
Pour Singo Sidiki, administrateur de l’interprofession riz et président de l’Union des coopératives des riziculteurs des régions du Tonkpi, du Guémon et du Cavally, cette rencontre a pour objectif de mobiliser les producteurs pour permettre à la Côte d’Ivoire de couvrir les besoins du pays en riz. « Depuis l’avènement de la pandémie du Covid 19, la côte d’Ivoire qui importe les 2/3 de sa consommation dans les pays asiatiques, ces pays qui sont les plus touchés par la pandémie ont fermé leurs frontières, et notre pays se trouve avec un manque de 500000 tonnes pour couvrir son besoin en riz. Il est donc important pour nous de faire appel aux professionnels du secteur pour les mobiliser afin qu’ils se mettent au travail pour combler ce gap », a expliqué Singo Sidiki.
Il s’agira pour les producteurs de l’ouest de produire 24000 tonnes sur un espace cultivable de 6000 hectares. « Nous avons identifié les sites de production ainsi que les producteurs et les acteurs qui vont nous accompagner dans l’encadrement. Il est questions pour nous de faire en sorte que les producteurs puissent effectivement bénéficier des moyens dégagés. Les utiliser à bon escient pour atteindre les objectifs que l’Etat s’est fixés », a-t-il expliqué.
A cette rencontre, le directeur régional de l’Agence nationale du développement rural (Anader), Dosso Ysoufou, représentant le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man, a indiqué qu’avec la pandémie, si rien n’est fait, dans trois à quatre mois, la Côte d’Ivoire pourrait se retrouver face à une crise alimentaire. C’est pourquoi, il a exhorté les producteurs à prendre au sérieux ce programme d’urgence qui vise à donner une réponse anticipée à cette autre crise alimentaire qui menace le pays. Selon lui, l’Anader a été choisie pour accompagner les producteurs dans l’atteinte des objectifs fixés. « C’est une belle opportunité, et ce sont ceux qui sont en activité qui en seront les bénéficiaires. C’est un plan d’action spécial que le gouvernement a initié pour faire face à l’urgence, ciblant les zones irriguées à fort potentiel de production, que sont les grands baffons, les plaines. Toutes les autres spéculations sont concernées », a-t-il souligné. Selon lui à l’ouest c’est Oriane Industrie qui est chargé de conduire avec l’Aderiz la mise en œuvre de ce programme.
