Le regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains, (RAIDH), et la Fondation Allemande KAS, (Konrad Adenaur stiftung) ont initié depuis ce mercredi 26 mai, une académie politique à l’endroit des jeunes des partis politiques aussi bien ceux de l’opposition que ceux qui sont au pouvoir. A leurs côtés, les jeunes de la société civile. Il s’agit à travers cet atelier de contribuer au renforcement de la démocratie et de l’Etat de Droit autour du thème principal, « L’intégration ouest africaine face à l’épreuve des crises dans l’espace CEDEAO ».
Cette activité a mobilisé autour d’une même table, les jeunes de tous les partis politiques présents dans la région, opposition et parti au pouvoir pour rechercher ensemble des solutions pour le maintien de la paix et de la cohésion sociale. « L’académie politique initiée par le RAIDH et la fondation KAS est une opportunité offerte aux jeunes des partis politiques de l’opposition, de la mouvance au pouvoir, des organisations de la société civile de se retrouver et de pouvoir échanger avec des personnes ressources pour s’informer et renforcer leurs connaissances sur ces problématiques en vue de les partager en retour avec les responsables et d’autres jeunes de leurs structures différentes », a expliqué Katalina Hopp, la représentante de la Fondation KAS à cet atelier. Pour elle, les réflexions ne doivent pas rester uniquement dans le cercle des participants.
Souleymane Fofana, coordonnateur général du RAIDH, estime que les actions initiées par sa structure avec la collaboration de la fondation KAS permettront d’informer, de former et même de sensibiliser tous les acteurs clés, pour tous les processus de recherche de la paix et de la cohésion sociale. « Il s’agit de contribuer au renforcement de la démocratie et de l’Etat de droit. Vous êtes sans ignorer que nos états sont aujourd’hui le théâtre de plusieurs maux, crise politique et démographique, terrorisme, déficit d’emploi pour les jeunes, crise économique, crise sanitaire avec la COvid-19 et pour clore, les coups d’Etat dont le dernier se vit actuellement au Mali », a soutenu l’acteur des droit de l’homme.
Le deuxième adjoint au maire de la commune de Man, Ouattara Dramane et le secrétaire général 1 de la préfecture de Man, André Kouakou Bah Yao, représentant le préfet de la région du Tonkpi, ont tous les deux traduit leur félicitations et leurs encouragement à la Fondation KAS et au RAIDH pour toutes les initiatives engagées dans la région en vue de faire la promotion de la paix et de la cohésion sociale. « Je voudrais vous exprimer ma gratitude pour cette autre activité au cours de laquelle vous êtes en train d’instruire nos jeunes qui ont opté pour la politique et ceux de la société civile sur les risques de fragilisation de l’intégration régionale ouest africaine au moment où l’espace CEDEAO est de plus en plus menacé par le terrorise », a souligné Ouattara Dramane.
Durant 3 jours, les 25 participants, tous des leaders dans leurs domaines respectifs sont instruits par des experts autour de plusieurs thématiques dont le rôle de la CEDEAO dans la gestion des crise dans les états membres ; les crises démographiques, l’immigration et leurs impacts sur la gouvernance dans les états membres de la CEDEAO et en Côte d’Ivoire en particulier ; les crises sécuritaires et leurs impacts sur la gouvernance ; les crise d’emploi des jeunes et leurs impacts dans la gouvernance, les crises sanitaires, dont celle de la Covid 19, les crises politiques et leurs impacts dans la gouvernance des Etats membres de la CEDEAO , et la Côte d’Ivoire en particulier.
Cette activité a mobilisé autour d’une même table, les jeunes de tous les partis politiques présents dans la région, opposition et parti au pouvoir pour rechercher ensemble des solutions pour le maintien de la paix et de la cohésion sociale. « L’académie politique initiée par le RAIDH et la fondation KAS est une opportunité offerte aux jeunes des partis politiques de l’opposition, de la mouvance au pouvoir, des organisations de la société civile de se retrouver et de pouvoir échanger avec des personnes ressources pour s’informer et renforcer leurs connaissances sur ces problématiques en vue de les partager en retour avec les responsables et d’autres jeunes de leurs structures différentes », a expliqué Katalina Hopp, la représentante de la Fondation KAS à cet atelier. Pour elle, les réflexions ne doivent pas rester uniquement dans le cercle des participants.
Souleymane Fofana, coordonnateur général du RAIDH, estime que les actions initiées par sa structure avec la collaboration de la fondation KAS permettront d’informer, de former et même de sensibiliser tous les acteurs clés, pour tous les processus de recherche de la paix et de la cohésion sociale. « Il s’agit de contribuer au renforcement de la démocratie et de l’Etat de droit. Vous êtes sans ignorer que nos états sont aujourd’hui le théâtre de plusieurs maux, crise politique et démographique, terrorisme, déficit d’emploi pour les jeunes, crise économique, crise sanitaire avec la COvid-19 et pour clore, les coups d’Etat dont le dernier se vit actuellement au Mali », a soutenu l’acteur des droit de l’homme.
Le deuxième adjoint au maire de la commune de Man, Ouattara Dramane et le secrétaire général 1 de la préfecture de Man, André Kouakou Bah Yao, représentant le préfet de la région du Tonkpi, ont tous les deux traduit leur félicitations et leurs encouragement à la Fondation KAS et au RAIDH pour toutes les initiatives engagées dans la région en vue de faire la promotion de la paix et de la cohésion sociale. « Je voudrais vous exprimer ma gratitude pour cette autre activité au cours de laquelle vous êtes en train d’instruire nos jeunes qui ont opté pour la politique et ceux de la société civile sur les risques de fragilisation de l’intégration régionale ouest africaine au moment où l’espace CEDEAO est de plus en plus menacé par le terrorise », a souligné Ouattara Dramane.
Durant 3 jours, les 25 participants, tous des leaders dans leurs domaines respectifs sont instruits par des experts autour de plusieurs thématiques dont le rôle de la CEDEAO dans la gestion des crise dans les états membres ; les crises démographiques, l’immigration et leurs impacts sur la gouvernance dans les états membres de la CEDEAO et en Côte d’Ivoire en particulier ; les crises sécuritaires et leurs impacts sur la gouvernance ; les crise d’emploi des jeunes et leurs impacts dans la gouvernance, les crises sanitaires, dont celle de la Covid 19, les crises politiques et leurs impacts dans la gouvernance des Etats membres de la CEDEAO , et la Côte d’Ivoire en particulier.
