Le Centre Régional d’Appui à la Société Civile (CRASC) de Man, a initié ce jeudi 28 juin 2018 son assemblée générale extraordinaire dans la salle des conférences de la préfecture de Man.
Et ce sous la présidence du secrétaire général 2 de la préfecture de Man, André Kouakou Bah Yao, représentant le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man. Il a été question pour la direction exécutive de la structure de dresser le bilan de ses activités et en dégager les perspectives.
Selon le directeur exécutif adjoint, Amand Augustin Ako, le personnel déployé assure la permanence du service, qui a permis d’identifier 260 Organisations de la Société civile (OSC) avec leurs besoins en termes de formation. « Nous avons élaboré un manuel de procédure pour le bon fonctionnement du Crasc, un plan de communication pour la visibilité de ses actions et un plan stratégique de développement. Nous avons aussi élaboré les statuts et règlement intérieur de la structure, nous avons mis sur pied un news lettre pour faciliter la communication avec les organisations de la société civile », a relevé le directeur exécutif adjoint du CRASC-ouest. Selon lui sa structure a participé à plusieurs activités dans la région. Il s’agit entre autres du projet d’embellissement de la ville de Man initié par la Jeune Chambre Internationale, la journée du contribuable initié par ONEF, et la cérémonie de distribution de Kits alimentaires à 200 familles vulnérables.
La structure selon son responsable exécutif adjoint a aussi pris part à des activités initiées par les organisations de la société civile dans les autres régions en dehors du Tonkpi. Des plaidoyers sont aussi en cours en vue de doter le Crasc ouest d’un siège. Un phénomène qui handicape la structure qui couvre 06 régions administratives à savoir, le haut Sassandra, le Worodougou, le Bafing, le Cavally, le Guémon et le Tonkpi. Soit 21 départements pour 80 sous-préfectures. Et ce sans le moindre moyen de déplacement. D’où la nécessité pour la structure d’être dotée d’un véhicule de liaison afin d’être plus efficace et plus proche des Organisations de la société civile. En terme de perspective, Crasc ouest entend se doter d’un siège, mais l’appui des autorités locales devrait pourvoir aider la jeune structure à atteindre cet objectif majeur.
Mr Amand a annoncé la création d’un bulletin d’information, la mobilisation des ressources financières pour la création d’une salle multimédia au bénéfice des Organisations de la société civile. « Nous allons poursuivre la sensibilisation des OSC sur les thématiques qui les concerne. Nous envisageons l’ouverture des centres locaux d’écoute pour être plus proche des OSC », a-t-il relevé.
Pour sa part, Agnissan Aimé Patricia, la directrice exécutive de Crasc Ouest a indiqué que sa structure est un dispositif régional de mutualisation des services au profit des Organisations de la Société Civile (OSC). Il a été mis en place dans le cadre du projet Leadership et Initiatives des Acteurs Non Etatiques (LIANE) financé par l’Union Européenne (U.E). Son objectif est de faire des OSC des acteurs formés, informés, prêts à travailler avec l’Etat et les autorité local dans le cadre de l’amélioration du bien-être des populations et du développement local. Cette assemblée générale a été l’occasion pour les participants d’élaborer un document stratégique et opérationnel pour sa redynamisation et son autonomisation.
Et ce sous la présidence du secrétaire général 2 de la préfecture de Man, André Kouakou Bah Yao, représentant le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man. Il a été question pour la direction exécutive de la structure de dresser le bilan de ses activités et en dégager les perspectives.
La structure selon son responsable exécutif adjoint a aussi pris part à des activités initiées par les organisations de la société civile dans les autres régions en dehors du Tonkpi. Des plaidoyers sont aussi en cours en vue de doter le Crasc ouest d’un siège. Un phénomène qui handicape la structure qui couvre 06 régions administratives à savoir, le haut Sassandra, le Worodougou, le Bafing, le Cavally, le Guémon et le Tonkpi. Soit 21 départements pour 80 sous-préfectures. Et ce sans le moindre moyen de déplacement. D’où la nécessité pour la structure d’être dotée d’un véhicule de liaison afin d’être plus efficace et plus proche des Organisations de la société civile. En terme de perspective, Crasc ouest entend se doter d’un siège, mais l’appui des autorités locales devrait pourvoir aider la jeune structure à atteindre cet objectif majeur.
Pour sa part, Agnissan Aimé Patricia, la directrice exécutive de Crasc Ouest a indiqué que sa structure est un dispositif régional de mutualisation des services au profit des Organisations de la Société Civile (OSC). Il a été mis en place dans le cadre du projet Leadership et Initiatives des Acteurs Non Etatiques (LIANE) financé par l’Union Européenne (U.E). Son objectif est de faire des OSC des acteurs formés, informés, prêts à travailler avec l’Etat et les autorité local dans le cadre de l’amélioration du bien-être des populations et du développement local. Cette assemblée générale a été l’occasion pour les participants d’élaborer un document stratégique et opérationnel pour sa redynamisation et son autonomisation.
