Du 19 novembre au 10 décembre 2022, se tiennent les opérations de révision de la liste électorale en Côte d’Ivoire. Le superviseur de la commission électorale indépendante pour la région du Tonkpi, Kouamé Adjoumani Pierre, par ailleurs secrétaire permanent de cette institution séjourne dans la région du Tonkpi. Le lundi 14 novembre 2022, il a eu une rencontre avec les couches sociales de la ville ainsi que les organisations de la société civile et les élus pour leur expliquer le déroulement du processus de la révision de la liste électorale. Il les a engagés à s’impliquer dans la mobilisation pour la réussite des opérations.
Face au corps préfectoral, les élus, les chefs traditionnels, les leaders communautaires, les forces de défense et de sécurité, les responsables des organisations de la société civile, les leaders des organisations de jeunes et de femmes, Kouamé Adjoumani Pierre a dans ses propos liminaires indiqué que la révision de la liste électorale consiste à mettre à jour le fichier électoral. « Il s’agit de prendre en compte les mutations intervenues dans le corps électoral. A savoir, le changement de lieux de vote, le changement de patronyme, la radiation des électeurs décédés ou indûment inscrits sur la liste électorale ou ayant perdu leurs droits civils et politiques. Il sera aussi question d’intégrer les nouveaux requérants remplissant les conditions d’âge, de nationalité et de droit de vote », a-t-il expliqué.
Cette opération est organisée par la CEI à travers sa commission centrale, l’assemblée des membres, ses démembrements que sont les commissions électorales locales en Côte d’Ivoire ou les commissions électorales des représentants diplomatiques ivoiriennes à l’étranger. Le superviseur de la CEI a noté que pour l’organisation de ces opérations, son institution implique aussi les partis et groupements politiques, les organisations de la société civile, les médias ainsi que les leaders d’opinions et l’administration centrale en raison de l’importance et de la finalité de l’opération.
Kouamé Adjoumani Pierre a souligné que cette opération concerne les personnes de catégorie 1 que sont les personnes figurant déjà sur la liste électorale qui désirent actualiser des informations les concernant ou qui veulent changer de lieu de vote. Selon lui, les documents à fournir sont la carte nationale d’identité, à défaut le certificat de nationalité associé à un document administratif comportant une photo. Notamment le récépissé d’enrôlement ou l(attestation d’identité.
Les personnes dites de catégorie 2 qui sont les ivoiriens âgés au moins de 18 ans accomplis au 10 décembre 2022et non encore inscrits sur la liste électorale, à condition de jouir de leurs droits civils et politiques et de n’être pas frappé d’incapacité ou d’indignité.
Kouamé Adjoumani Pierre a rappelé que ces opérations vont se dérouler dans les lieux de vote habituels qui sont généralement des établissements scolaires ou le centre social de Man pour les habitants du secteur de Dioulabougou. Cette année, il y a une innovation. « En plus des guichets fixes, il y aura des guichets mobiles qui vont sillonner les quartiers et les commerces pour permettre au maximum d’ivoiriens remplissant les conditions de s’inscrire sur la liste électorale.
« Une liste fiable permet d’avoir des élections paisibles. C’est maintenant qu’il faut parler à nos jeunes, nos mamans, pour qu’ils comprennent la chose. C’est aussi maintenant qu’il faut mettre l’accent sur cet enrôlement pour qu’il y ait de l’engouement. Puisque c’est cet enrôlement qui va déboucher sur un fichier fiable qui va servir à élire nos différents leaders, nos différents candidats qui vont se charger de développer la région, notre département, notre pays », a-t-il soutenu. Pour la circonstance, le secrétaire permanent de la CEI était entouré de deux de ses assistants et du président de la commission régionale de la CEI du Tonkpi, Ousmane Gnangadou. Après Man, le superviseur de la CEI se rend à Zouan-hounien, Danané, Biankouma et Sipilou
Face au corps préfectoral, les élus, les chefs traditionnels, les leaders communautaires, les forces de défense et de sécurité, les responsables des organisations de la société civile, les leaders des organisations de jeunes et de femmes, Kouamé Adjoumani Pierre a dans ses propos liminaires indiqué que la révision de la liste électorale consiste à mettre à jour le fichier électoral. « Il s’agit de prendre en compte les mutations intervenues dans le corps électoral. A savoir, le changement de lieux de vote, le changement de patronyme, la radiation des électeurs décédés ou indûment inscrits sur la liste électorale ou ayant perdu leurs droits civils et politiques. Il sera aussi question d’intégrer les nouveaux requérants remplissant les conditions d’âge, de nationalité et de droit de vote », a-t-il expliqué.
Cette opération est organisée par la CEI à travers sa commission centrale, l’assemblée des membres, ses démembrements que sont les commissions électorales locales en Côte d’Ivoire ou les commissions électorales des représentants diplomatiques ivoiriennes à l’étranger. Le superviseur de la CEI a noté que pour l’organisation de ces opérations, son institution implique aussi les partis et groupements politiques, les organisations de la société civile, les médias ainsi que les leaders d’opinions et l’administration centrale en raison de l’importance et de la finalité de l’opération.
Kouamé Adjoumani Pierre a souligné que cette opération concerne les personnes de catégorie 1 que sont les personnes figurant déjà sur la liste électorale qui désirent actualiser des informations les concernant ou qui veulent changer de lieu de vote. Selon lui, les documents à fournir sont la carte nationale d’identité, à défaut le certificat de nationalité associé à un document administratif comportant une photo. Notamment le récépissé d’enrôlement ou l(attestation d’identité.
« Une liste fiable permet d’avoir des élections paisibles. C’est maintenant qu’il faut parler à nos jeunes, nos mamans, pour qu’ils comprennent la chose. C’est aussi maintenant qu’il faut mettre l’accent sur cet enrôlement pour qu’il y ait de l’engouement. Puisque c’est cet enrôlement qui va déboucher sur un fichier fiable qui va servir à élire nos différents leaders, nos différents candidats qui vont se charger de développer la région, notre département, notre pays », a-t-il soutenu. Pour la circonstance, le secrétaire permanent de la CEI était entouré de deux de ses assistants et du président de la commission régionale de la CEI du Tonkpi, Ousmane Gnangadou. Après Man, le superviseur de la CEI se rend à Zouan-hounien, Danané, Biankouma et Sipilou
