Les récents événements qui ont secoué le département de Fakobly n’ont pas laissé de marbre les autorités. Une semaine après, le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Apalo Touré s’est rendu sur place pour ramener le calme. C’était le lundi 05 juillet au centre culturel de Facobly. Ce dans le cadre du règlement du conflit communautaire entre autochtones Wobé et allogènes guinéens.
Pour rappel, le corps sans vie d’une jeune fille Wobé a été retrouvé dans la boutique de son petit ami Peuhl, en fuite. Cette situation a entraîné un conflit communautaire qui a opposé autochtones Wobé aux allogènes Peuhl. Ce conflit a occasionné d’importants dégâts matériels. La gendarmerie a dû procéder à des arrestations pour calmer la situation. Elle-même n’a pas échappé au courroux des jeunes qui ont mis le feu à certains corridors.
Arrivé ce lundi 5 juillet, le général Apalo Touré s’est entretenu longuement avec les populations à la tête desquelles les chefs et les cadres.
Tirant sur la fibre de l’alliance, l’émissaire du ministre de la défense, a trouvé les mots justes pour apaiser les cœurs, mais amener les uns et les autres à la raison.« La fraternité se nourrit de vérité. En telle situation qu’on sache raison gardée et ne pas se faire justice, de peur de ternir l’image de peuple hospitalier qu’on reconnaît en vous. Un individu qui fait du mal ne doit pas entraîner qu’on s’en prenne à tous les autres », a rappelé, le commandant supérieur de la gendarmerie.
Pour leur part, par la voix du député de Facobly, l’honorable Séi Gaspard et du chef de Canton Poemé, Kéi Badia, les populations ont plaidé pour la relaxe des jeunes arrêtés par la gendarmerie.
La visite aux parents de la défunte jeune fille Wobé, Guéi Nadège, dans la sous-préfecture de Tiény-Siably, a clôturé le séjour du général Apalo Touré dans le département de Facobly. Sans oublier qu’il a fait un important don en numéraire à la famille éplorée pour les obsèques de leur fille.
Il est important de rappeler que le maire résident de Facobly, Sanga Jean Pierre, et le député de Duekoué-Guéhiébly, ont joué un rôle déterminant dans cette méditation.
Pour rappel, le corps sans vie d’une jeune fille Wobé a été retrouvé dans la boutique de son petit ami Peuhl, en fuite. Cette situation a entraîné un conflit communautaire qui a opposé autochtones Wobé aux allogènes Peuhl. Ce conflit a occasionné d’importants dégâts matériels. La gendarmerie a dû procéder à des arrestations pour calmer la situation. Elle-même n’a pas échappé au courroux des jeunes qui ont mis le feu à certains corridors.
Tirant sur la fibre de l’alliance, l’émissaire du ministre de la défense, a trouvé les mots justes pour apaiser les cœurs, mais amener les uns et les autres à la raison.« La fraternité se nourrit de vérité. En telle situation qu’on sache raison gardée et ne pas se faire justice, de peur de ternir l’image de peuple hospitalier qu’on reconnaît en vous. Un individu qui fait du mal ne doit pas entraîner qu’on s’en prenne à tous les autres », a rappelé, le commandant supérieur de la gendarmerie.
