La 5ème édition du festival des arts et de la culture Dan, “Tonkpi Nihidaley” a débuté le mercredi 07 décembre a démarré à l’espace « Nihidaley », au quartier Grand Gbapleu. Cette édition est placée sous le sceau de la maturité et de la réconciliation. L’objectif affiché par les organisateurs est de contribuer à la valorisation et au rayonnement de la culture et de l’identité Dan. Plusieurs milliers de festivaliers sont mobilisés pour la cause.
La 5ème édition, du Tonkpi Nihidaley est en train de tenir son pari. Elle est riche en partage culturels et en découvertes. Du 07 au 11 décembre prochain les festivaliers n’ont pas à s’ennuyer. Dieu est placé au centre de cette édition avec les religions révélées. Mais les mânes des ancêtres Dan ne sont pas rangés aux oubliettes. C’est d’ailleurs pour ça que de prime à bords, les autorités politiques et coutumières ont d’abord reçu les bénédictions de tous les festivaliers, à la case sacrée de la place “Nihidaley” avec le chef du village “Nihidaley” le préfet Mamadou Koblé et sa notabilité.
Ensuite, Il y a eu un colloque autour du thème culture et religion qui est la plate-forme de réflexion sur l’influence des religions révélés sur la culture Dan avec d’éminents religieux, des panélistes et universitaires de renom.
Un forum économique qui se veut une plate-forme d’échanges sur les potentialités économiques de la région. Cette année l’accent est mis sur le manioc, la nourriture de base du peuple Yacouba avant le riz. « La sécurité alimentaire revêt plusieurs aspects notamment la diversité de l’alimentation, (et les éminents spécialistes et panélistes ici pourront le confirmer), mais le choix du manioc se justifie par le fait c’est une denrée qui fait partie intégrante du patrimoine alimentaire et culturale de la région du Tonkpi, en plus d’être aujourd’hui une culture polyvalente qui répond aux priorités des pays en développement, aux tendances de l’économie mondiale et au défi du changement climatique », a indiqué le président du conseil régional du Tonkpi Abdalah Albert Toikeusse Mabri..
Selon lui, le thème du Forum économique colle donc avec le thème du Festival « Culture et religions » puisqu’il s’agit de la culture Dan avec ses modes de vie, habitudes alimentaires etc… et s’aligne avec les priorités et les objectifs du Développement Durable pour relever les Défis mondiaux. « Je voudrais m’en féliciter et féliciter d’emblée l’équipe du Forum pour avoir retenu ce thème qui cadre bien avec les objectifs du Festival et les attentes des populations », s’est-il réjouit.
Sans oublier les arts vivants (danses, musiques, contes et groupes traditionnels), les arts visuels et numériques (films sur les Dan, leur culture, leurs attraits touristiques…)
Les jeux et sports patrimoniaux (luttes traditionnelles, course de masque, Toupie, randonnées, marche de la paix, maracana), le concours de beauté du terroir (concours Sunga), et pour cette édition, C’est miss Alloh Pauline Sindy de Zouanhounien qui a remporté la couronne. Elle a pour dauphine la Weurga, Gbê Sobialé Danielle de Man et pour deuxième dauphine la Zunga, Degry Josiane de Zouanhounien.
Le concours culinaire qui a également mobilisé les femmes des 5 départements de la région. Pour cette étape, c’est Biankouma qui est arrivé en tête suivie de Zouan-hounien et Man respectivement deuxième et troisième. Les 36 participantes sont rentrées chez elles les mains chargées de présents.
Ajoutés à ce décor des nuits artistiques pour apporter la joie au cœur des populations et invités.
Rien n’a été négligé. Les visites des sites et attraits touristiques de la région sont également au menu de ce festival qui dure six jours.
Cette édition est placée sous le haut patronage de son excellence, Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire et sous le parrainage du président de l’assemblée nationale Adama Bictogo.
Selon le commissaire général du “Nihidaley”, le professeur Lou Bamba Mathieu, les peuples invités de la Côte d’Ivoire pour le “Nihidaley”5, sont les peuples des grands ponts. Le pays hôte pour cette édition est le Maroc, notamment la province de Fès. Pour rappel, le ” Tonkpi Nihidaley” est un festival qui a été initiée par le ministre Abdallah Toikeusse Mabri, président du conseil régional du Tonkpi et ses collaborateurs à un moment où, la région qu’il préside depuis 2013, avait besoin d’un festival qui allait revendre la culture du terroir, et permettre aux populations du Tonkpi dans toutes leurs diversités, de se réjouir après les durs travaux champêtres, tout en valorisant le tourisme local. « Aujourd’hui ce festival a atteint une dimension internationale. Il a même un financement de l’UNESCO », révèle le commissaire général Lou Bamba Mathieu.
La 5ème édition, du Tonkpi Nihidaley est en train de tenir son pari. Elle est riche en partage culturels et en découvertes. Du 07 au 11 décembre prochain les festivaliers n’ont pas à s’ennuyer. Dieu est placé au centre de cette édition avec les religions révélées. Mais les mânes des ancêtres Dan ne sont pas rangés aux oubliettes. C’est d’ailleurs pour ça que de prime à bords, les autorités politiques et coutumières ont d’abord reçu les bénédictions de tous les festivaliers, à la case sacrée de la place “Nihidaley” avec le chef du village “Nihidaley” le préfet Mamadou Koblé et sa notabilité.
Un forum économique qui se veut une plate-forme d’échanges sur les potentialités économiques de la région. Cette année l’accent est mis sur le manioc, la nourriture de base du peuple Yacouba avant le riz. « La sécurité alimentaire revêt plusieurs aspects notamment la diversité de l’alimentation, (et les éminents spécialistes et panélistes ici pourront le confirmer), mais le choix du manioc se justifie par le fait c’est une denrée qui fait partie intégrante du patrimoine alimentaire et culturale de la région du Tonkpi, en plus d’être aujourd’hui une culture polyvalente qui répond aux priorités des pays en développement, aux tendances de l’économie mondiale et au défi du changement climatique », a indiqué le président du conseil régional du Tonkpi Abdalah Albert Toikeusse Mabri..
Sans oublier les arts vivants (danses, musiques, contes et groupes traditionnels), les arts visuels et numériques (films sur les Dan, leur culture, leurs attraits touristiques…)
Le concours culinaire qui a également mobilisé les femmes des 5 départements de la région. Pour cette étape, c’est Biankouma qui est arrivé en tête suivie de Zouan-hounien et Man respectivement deuxième et troisième. Les 36 participantes sont rentrées chez elles les mains chargées de présents.
Ajoutés à ce décor des nuits artistiques pour apporter la joie au cœur des populations et invités.
Cette édition est placée sous le haut patronage de son excellence, Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire et sous le parrainage du président de l’assemblée nationale Adama Bictogo.
Selon le commissaire général du “Nihidaley”, le professeur Lou Bamba Mathieu, les peuples invités de la Côte d’Ivoire pour le “Nihidaley”5, sont les peuples des grands ponts. Le pays hôte pour cette édition est le Maroc, notamment la province de Fès. Pour rappel, le ” Tonkpi Nihidaley” est un festival qui a été initiée par le ministre Abdallah Toikeusse Mabri, président du conseil régional du Tonkpi et ses collaborateurs à un moment où, la région qu’il préside depuis 2013, avait besoin d’un festival qui allait revendre la culture du terroir, et permettre aux populations du Tonkpi dans toutes leurs diversités, de se réjouir après les durs travaux champêtres, tout en valorisant le tourisme local. « Aujourd’hui ce festival a atteint une dimension internationale. Il a même un financement de l’UNESCO », révèle le commissaire général Lou Bamba Mathieu.
